Chantal 10
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Le relieur, Source: Hds
... raconter ses péchés de chair espérant bien allumer le remplaçant du curé, le baiseur de sa mère.
Chantal débite son baratin elle sait bien ce qui va finir par faire craquer l'abbé, et sinon il lui reste encore à lui faire savoir que c'est sa mère qu'il a baissé l'autre jour.
Tout en confessant ses turpitudes en rajoutant même, elle a le nez fin Chantal, elle sent l'odeur de fauve qui émane de l'autre côté de la grille. C'est l’odeur sauvage et suave du sexe qui lui chatouille les narines, le parfum du mâle en rut.
Alors elle insiste, elle lui dit combien elle a toujours envie d'homme, de bite grosse et dur, ce faisant elle passe ses doigts dans son entre jambes, mouille ses phalanges à sa cyprine puis elle les passe à travers la grille en disant “Sentez mon odeur de femelle en chaleur “.
Alors Chantal sent la bouche de l'abbé se fermer sur ses doigts et téter ses petits doigts.
Elle a gagné il est à sa merci elle va se faire une belle queue noire, tout comme sa maman et qui sait peut être d'autres salopes en ville, qui viennent se confesser dans l'espoir secret de se faire emmancher.
Dans la pénombre du confessionnal Chantal devine que l'abbé est en train de se masturber et puis maintenant le parfum de la bite la fait réagir elle replonge ses doigts dans sa chatte gluante et elle les redonne à sucer en disant “viens me prendre la chatte je n'en peux plus il me faut ta grosse queue noire ! “
Chantal quitte le confessionnal et avant que l'abbé en fasse de ...
... même, la petite salope est déjà couchée nue sur le tapis en haut des marches juste devant l'autel, les cuisses écartées dévoilant sa fente baveuse du plaisir à venir.
L'abbé ne prend même pas le temps de fermer la porte de l'église, la soutane vole au milieu des chaises.
Bandant comme une bête en rut il se précipite vers la femelle en chaleur qui n'a fait que l'allumer dans le confessionnal.
Chantal n'a d'yeux que pour cette flamberge couleur d'ébène, courbe comme un sabre dont le gland plus pâle dépasse largement le nombril et ce sabre va la traverser de la chatte jusqu'à la gorge.
Ce gros gourdin va la remplir, la gorger, la gaver.
À y voir de plus près elle est moins grosse que celle de l'évêque, mais elle est noire et ça c'est nouveau.
Chantal sent sa chatte couler sur sa petite rosette et le jus gagne le tapis, mais elle n'en peut plus et elle lui crie “baise moi, donne moi ta queue ! “
Des lors l'abbé se laisse tomber entre la fourche de la femelle qui s'offre à lui.
Il pose son gros champignon au bord de la grotte juteuse, et ne pouvant plus tenir plus longtemps d'un seul coup de rein il enfonce son goupillon au fond du bénitier entraînant avec lui les babines dans le vagin débordant de cyprine, au point qu'elle lui gicle sur les couilles et s'écoule sur le tapis.
L'abbé agite son sabre comme un damné dans le fourreau juteux pilonnant sans vergogne et sans retenue cette salope de paroissienne qui n'est venu que pour se faire défoncer.
Il ...