1. Ma sorcière bien aimée


    Datte: 23/05/2018, Catégories: fh, strip, fantastiqu, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Hidden Side, Source: Revebebe

    ... caressa avec ses cheveux, sans cesser d’onduler. J’en avais des frissons ! Son manège dura encore quelques instants, jusqu’à ce qu’elle me sente suffisamment « tendu » pour se risquer à de nouvelles audaces. Alors Sophie se tourna, faisant glisser son string sur ses cuisses nerveuses, avant de secouer ses petites fesses sous mon nez. Des effluves irrésistibles, puissants et poivrés, exsudaient jusqu’à moi : la senteur indiscutable de son désir.
    
    Ne tenant plus compte de ses mises en garde, j’embrassai ce cul délicieusement velouté, tout en glissant un index inquisiteur entre les grandes lèvres charnues. Avec un calme apparent – que démentait la fournaise dans sa chatte – Sophie ôta mes mains de son corps tout en continuant d’ondoyer tout contre moi. Puis elle fit lentement descendre son joli petit derrière, jusqu’à frotter avec insistance sa vulve entrouverte sur la grosse bosse qui déformait mon jean.
    
    Toujours de dos et sans que je n’aie à intervenir, elle me déboutonna alors d’une main preste et fit jaillir ma bite hors de mon caleçon. Massant avec délicatesse mon membre bandé, elle le décalotta posément avant de l’engloutir tout au fond de son vagin. C’était bon, c’était chaud et surtout c’était trempé ! Mais, à peine avais-je eu le temps d’apprécier la moiteur de son con, qu’elle remontait hors d’atteinte, m’arrachant un gémissement de frustration.
    
    Elle se retourna pour s’asseoir sur moi, dans le fauteuil. À quelque centimètre du mien, son visage était ...
    ... écarlate, ses narines frémissantes. Indiscutablement, elle était en chasse… et moi, la proie dont elle allait faire son dîner ! Tout en pressant ses seins opulents contre mon visage, elle abaissa son pubis à tête chercheuse à la rencontre de ma pine bien dure, dans l’évidente intention de me gober tout cru.
    
    — Laisse-toi faire, m’intima-t-elle d’une voix rauque. Ne bouge pas !
    
    Je m’enfonçai en elle avec délices, glissant entre ses parois supra-lubrifiées tel un véritable gode de chair. Elle entama alors une sorte de danse sur mon sexe, des petits mouvements de bassin, parfois amples, parfois secs, évasant sa grotte humide en avant, en arrière et sur les côtés afin de mieux concasser mes corps caverneux.
    
    — Ça te plait, hein, de me voir faire la pute !
    
    Tout juste audibles sous les déferlements débraillés du crooner, ces mots déclenchèrent soudain un dédoublement nauséeux. Deux Sophie me faisait face, à présent : la « salope », en train de me violer en bonne et due forme, et en surimpression le fantôme d’une autre femme, une vraie prostituée celle-là. Sanglée dans un corset noir et or, cette créature exécutait unpole dance à la limite de l’obscène, suivi d’un simulacre d’accouplement dans un lit au cadre torturé.
    
    Durant une fraction de seconde, je me retrouvai ailleurs ; observant mon épouse se donner en spectacle dans une salle sombre et enfumée, devant des cow-boys à moitié saouls, chauffés à blanc. Broyant mon bras, une étreinte d’acier m’empêchait d’intervenir.
    
    — ...
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