Une assistante sociale à l'agonie - Histoires de Sexe

Une assistante sociale à l'agonie

... empoigner un gant de toilette et laver son corps tendrement curant son corps de toutes souillures.

Jennifer posa la tête sur la céramique le laissant disposer de son corps, il lui lava son intimité avec une tendresse dépourvue de toute concupiscence, lorsqu'elle fut propre, il l'assit sur le rebord de la baignoire et la frictionna longuement.

Puis il la reprit dans ses bras, se remettant à bander ferme, et la ramena dans la chambre.

A la vue du lit conjugal, il pensa fugitivement combien il aimerait la posséder dans ce lit, mais il se contenta de la déposer dans le lit, après avoir tiré la literie aux pieds du lit.

Il l'emmitoufla alors dans ses draps et couvertures, Jennifer était sidérée de tant de compassion de la part du gentil géant, elle le dévisageait intriguée tandis qu'il lui caressait gentiment la joue, puis la lumière s'éteignit et elle l'entendit quitter la chambre.

Quelques instants plus tard, épuisée par cette nuit de débauche, elle s'endormait rapidement.

Tiny avait utilisé le téléphone de la cuisine pour appeler à la rescousse un de ses copains, en l'attendant il faisait les cents pas surveillant la maison de la belle Jennifer Macdonald, la jeune femme qu'il espérait désespérément posséder à nouveau.

Il jeta un oeil dans la chambre où elle dormait profondément, il voulait lui refaire l'amour, mais sans la meurtrir, sans la violer.

Son copain se garant devant la porte, il repartit après un dernier coup d'oeil attentif.

Les deux ...

... semaines qui suivirent, Jennifer s'angoissa au sujet des vidéos de son viol. Elle craignait de se voir soumise à un chantage l'obligeant çà encore subir des assauts sexuels.

Son patron l'avertit un beau jour, qu'elle, était affectée sur une nouvelle zone, la sienne étant reprise par deux nouveaux assistants sociaux, elle ne pourrait donc plus réagir à la moindre menace.

Cependant elle savait que ces saloperies de cassette existaient bel et bien, elle était désespérée de ne pas savoir ce que Rashan et sa monstrueuse mère escomptait en faire, elle se rappelait seulement avoir entendu qu'ils la vendraient sur le marché local de la pornographie.

Elle craignait de voir un jour son mari tomber sur ce film dégradant relatant son viol.

A chaque fois qu'elle embrassait son mari, elle aurait voulut lui crier qu'elle n'était plus la pure jeune femme qu'il avait épousée, elle aurait aimé lui confier qu'on l'avait souillée, qu'elle ne pourrait jamais plus être la même.

Lorsqu'elle faisait l'amour avec lui, elle ne prenait son plaisir qu'en fermant les yeux imaginant qu'elle défaillait dans les bras du doux géant qui lui avait donné tant de plaisir.

Mais lorsqu'elle y réussissait, elle croisait les jambes dans le dos de son mari qu'elle attirait profondément en elle, lui provoquant une trop rapide éjaculation.

Faire l'amour avec son mari la laissait totalement insatisfaite, il jouissait si vite qu'elle n'en tirait aucun plaisir.

Le dimanche matin, Tiny observait Alan ...