Morgane - Ma jeune belle-mère s'occupe de moi - Histoires de Sexe

Morgane - Ma jeune belle-mère s'occupe de moi

... Allonge-toi pour que je puisse enlever le bas. »

Je m’exécutai sans réfléchir. Elle s’agenouilla devant moi et défit mes chaussures.

« Demain je te donnerai un bain.

— Je pue tant que ça ? dis-je en me redressant tant bien que mal. »

Elle ne répondit pas et plongea son regard pervers dans le mien. Elle se trouvait dans ma chambre, agenouillée entre mes jambes… La situation pouvait porter à confusion.

Ses fines mains glissèrent sur mes jambes, remontantes jusqu’à ma ceinture qu’elle défit en un rien de temps. Une nouvelle pulsation apparut au contact de mon avant-bras sur mon sexe. Elle dut le sentir car elle eut un léger mouvement de recul en émettant un « oh » presque inaudible.

« Désolé… murmurais-je aussitôt.

— C’est naturel… Je suppose que quand une fille se place ainsi devant toi ce n’est pas pour rien ! »

Morgane avait le don de détendre n’importe quelle situation avec sa répartie et son sourire innocent. Je me sentais tout de suite plus à l’aise. Elle tira sur mon jean, me laissant en boxer. Elle s’immobilisa quelques secondes, les yeux braquaient sur la forme visible de mon sexe.

« Peut-être pas si petit que ça. dit-elle avec amusement. L’infirmière a dû bien en profiter !

— Oh oui ! Mais je te préfère. »

Je réalisais soudainement le double sens de ma phrase, une vague de chaleur s’éleva en moi.

« Enfin… je veux dire… je préfère que ce soit toi qui t’occupes de moi plutôt que quelqu’un d’autre.

— T’es mignon quand tu te sens ...

... gêné. J’ai compris ce que tu voulais dire, ne t’inquiète pas. »

Sa main vint se poser sur mon sexe, elle la glissait lentement sur le tissu en faisant de petits cercles. La caresse me fit bander en un clin d’œil.

« Qu’est-ce que tu fais ?

— Je m’occupe de toi trésor, comme l’infirmière. »

Elle défit mon boxer, mon sexe se dressa instantanément, à quelques centimètres de son visage.

« Oh ! lâcha-t-elle, une belle taille en effet ! »

Sa main agrippa mon sexe et commença de lents va-et-vient. La situation me troublait, j’étais à la fois excité et gêné par cette douce attention.

« C’est pas bien… On doit pas faire ça.

— Et tu comptes rester comme ça sans rien pendant un mois ? C’est hors de question que j’aille chercher tes petites putes, ni que je nettoie tes draps parce que t’auras fini par te vider pendant la nuit. Autant en profiter, ensemble. »

Mes petites putes… Depuis quatre ans qu’elle vivait avec nous, elle n’avait jamais apprécié la moindre fille passant dans cette chambre. Elle avait raison, un mois sans sexe était impossible, moi qui était habitué à jouir quotidiennement !

« Continue. » dis-je dans un soupir.

Sa main serra davantage mon sexe déjà bien durci par l’excitation. Je m’allongeai sur le dos, profitant de ce doux moment. De cet interdit que nous bravions ensemble.

Après quelques instants, je sentis un souffle chaud sur mes testicules, très vite suivi par un premier contact avec ses lèvres. Elle embrassait et suçait mes couilles ...