1. Couple complice


    Datte: 29/08/2021, Catégories: fbi, hbi, couplus, extracon, extraoffre, cocus, collection, hféminisé, confession, portrait, extraconj, cocucont, Auteur: Djanick, Source: Revebebe

    ... aussi à des fantasmes très particuliers. Mais cette forme d’appropriation avec ces cadeaux – vêtements, accessoires, chaussures ou parfums – n’est pas sans rapport avec un certain rôle d’escort que joue mon épouse ; ce jeu nous convient et j’aime aussi cette forme de partage.
    
    Comme nous vivons notre vie de candaulistes au quotidien, pas mal de nos aventures sont imprévues ; elles font partie de celles que nous apprécions, surtout lorsqu’on se les raconte ensuite, comme le soir où elle s’est fait raccompagner en voiture.
    
    Je devais venir chercher mon épouse à la gare assez tard en soirée, mais elle m’a prévenu de ne pas me déplacer car l’un de ses voisins de voyage avait proposé de la raccompagner. Pendant le voyage, le monsieur lui avait ouvert son carnet d’adresses professionnelles et elle se sentait redevable.
    
    Mais une fois dans la voiture, ma femme sentit le conducteur mal à l’aise ; comme elle lui était redevable, elle prit l’initiative et lui demanda de s’arrêter dans un chemin de campagne pour qu’elle puisse faire pipi. Voici ce qu’elle ma raconta : «Je me suis mise derrière la voiture, bien dans l’axe du rétroviseur, et j’ai pris mon temps pour enlever mon collant et ma culotte avant de m’accroupir. Après, je lui ai demandé un mouchoir pour m’essuyer, ce que j’ai fait devant lui. Ensuite, j’ai mis le mouchoir dans son cendrier et mon collant avec ma culotte dans mon sac. Là, il n’en pouvait plus : il m’a mis la main sous ma jupe… » Le temps de prendre un ...
    ... préservatif – mon épouse en a toujours avec elle – de l’enfiler au monsieur (là aussi, elle est experte, surtout qu’elle y associe la bouche), la suite devient banale comme de baiser dans une voiture.
    
    Les situations les plus conventionnelles – pour nous –, nous allons les vivre dans les lieux dédiés à la drague, c’est à dire les boîtes et les bars de nuit.
    
    S’il n’y a pas d’effronté kamikaze à venir l’inviter à danser alors qu’elle est à côté de moi, voilà comment ça commence : ma femme s’écarte de moi pour aller danser seule ; quand les mecs en chasse commencent à lui tourner autour, cela lui permet de sélectionner et de faire son choix. De loin, je vois le jeu : elle tourne le dos ou repousse net d’une parole les uns, pour ensuite se rapprocher et se faire remarquer d’un autres.
    
    Faute de tango – danse qu’elle affectionne car le cavalier doit se révéler face à la fougue de la cavalière – ma femme conclut alors sur le premier slow ; le slow, danse où les hommes ne sont que des limaces. Mais dans les deux cas elle me montre toute sa sensualité, car elle sait que je la regarde et que je l’envie.
    
    En quelques secondes, elle se colle à son cavalier. Très vite, les mains du monsieur se font invasives, pour découvrir une femme offerte. Ensuite, ils s’isolent à l’extérieur ; ce n’est qu’après que ma femme choisit comment continuer la soirée. Soit nous repartons à deux ou bien à trois, soit je laisse ma femme avec son amant et je pars. Dans ce dernier cas, il y a beaucoup de ...