1. Le dernier bain


    Datte: 27/08/2021, Catégories: ff, fhh, vacances, plage, caférestau, BDSM / Fétichisme couple+h, Auteur: LastCars, Source: Revebebe

    ... Il ne pouvait pas ne pas voir ma main sur la poitrine de sa femme… J’abandonnai (à regret) finalement mon précieux fardeau et nous nous redressâmes tous les deux dans moins d’un mètre d’eau. Effectivement, Alain était tout proche et Aline l’interpella en me montrant du doigt.
    
    — Tu as vu comment il m’a sauvée… Et je ne l’ai presque pas remercié tellement j’étais émue… Mais maintenant, il faut que je fasse quelque chose. Tu es d’accord, bien sûr ?
    
    Je crus discerner dans la toute dernière phrase une forte note d’ironie. Sans attendre la réponse de son époux, elle passa ses bras autour de mon cou, m’attirant contre son corps. J’avais fermé les yeux. Je sentis ses lèvres contre les miennes et tout de suite après, sa langue qui cherchait son passage entre mes dents. Elle me serrait contre elle. Les pointes durcies de ses seins venaient agacer ma poitrine. Puis je sentis qu’elle emprisonnait mon sexe érigé entre ses jambes. Je ne savais plus très bien où j’étais.
    
    Mes bras s’étaient refermés autour de sa taille et je la pressai convulsivement contre moi.
    
    Je commençai des mouvements de va-et-vient avec mon bassin et je sentis immédiatement que la belle m’accompagnait en desserrant légèrement l’étreinte de ses jambes. Je bandai comme jamais et j’imaginai à partir des sensations ressenties et de ce que j’avais vu l’après-midi de cette vulve entre ouverte, le doux chemin que je parcourais ainsi.
    
    Une main me guida finalement et je m’enfonçai dans la vallée des roses. Les ...
    ... bras d‘Aline étaient toujours noués autour de mon cou. C’était donc la main d’Alain que j’avais sentie. Sur le coup, cette découverte, pour étrange qu’elle fût, me laissa indifférent. Non, j’étais au paradis et rien ne pouvait m’en faire redescendre. Je ne rêvais pas. Celle sur le corps de laquelle j’avais tant fantasmé était mienne, là au clair de lune, sur cette plage déserte.
    
    Elle avait remonté ses jambes à la hauteur de mon bassin, entamait maintenant des tractions sur mon cou pour mieux coulisser sur mon pieu toujours tendu à en être douloureux. De temps en temps elle se laissait retomber plus brutalement accompagnant son mouvement d’un petit cri d’oiseau effarouché. J’avais alors l’impression de toucher du bout de mon gland le fond de son vagin. Puis je ressentis soudain une étrange sensation : ce n’étaient plus les contractions des muscles vaginaux. Je compris presque aussitôt ce qui se passait. La belle d’ailleurs confirma aussitôt ce que j’avais deviné en criant :
    
    — Oh oui, Alain, encule-moi !
    
    Et elle se mit à gémir de plus en plus fort pendant que ses deux chevaliers servants essayaient de coordonner leur cadence, ce qui, soit dit en passant, n’est pas très facile dans de telles conditions ! La conclusion ne fut pas longue à venir et nous nous retrouvâmes rapidement tous les trois étendus, nus sur le sable à reprendre notre souffle après une crise de fou rire collectif.
    
    Mon songe éveillé s’arrête là, car l’eau de mon bain a refroidi, mais ce soir, sur le ...
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