1. La soixantaine en folie


    Datte: 27/08/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, volupté, Oral journal, Auteur: Hugues, Source: Revebebe

    ... puis je vous avoue que je n’ai pas oublié de me caresser doucement en pensant à elle…
    
    Une fois sorti de la douche, en cherchant une serviette, j’ai ouvert quelques tiroirs. Dans celui du bas, je suis tombé sur une nuisette rouge en satin ; ce n’est pas le genre de ma vieille fille de copine de porter cela. C’était la nuisette de sa mère, j’en étais sûr. J’avais envie de la frotter contre ma peau, mais j’avais peur de la froisser et surtout de trop m’exciter…
    
    J’ai fini de m’habiller et avant de descendre les rejoindre, j’ai voulu regarder par la fenêtre car la vue est sublime… et ce fut vraiment le cas : ma sexagénaire, la croupe en l’air était en train de cueillir du persil dans son potager, là, à quelques mètres de moi. Je pouvais admirer ses fesses sublimes tendues vers moi, ses jambes brûlées par le soleil, ses hanches, tout, tout me rendait fou….et je ne résistai pas à la tentation de me caresser en la regardant s’activer dans son potager. J’avais envie d’elle plus que jamais, une deuxième douche froide m’aurait fait du bien, mais je devais descendre maintenant.
    
    Une fois dans le salon, j’ai eu droit aux traditionnels commentaires politiques poujadistes du mari que je n’écoutais que d’une oreille d’ailleurs, puisque j’entendais ma sexagénaire qui s’activait dans la cuisine et que j’essayai de l’entr’apercevoir dans la glace de la vitrine.
    
    Quelques minutes après, elle rentra dans le salon pour nous servir un apéritif, champagne SVP, et nous annoncer que nous ...
    ... pourrions manger dès qu’elle se serait douchée elle aussi. Humm, elle sous la douche et moi en bas à discuter avec son mari et sa fille, quel gâchis, pensai-je en mon for intérieur…
    
    Lorsqu’elle redescendit, elle était maquillée discrètement si ce n’est son rouge à lèvres un peu trop rouge, mais excitant. Elle portait un petit débardeur noir décolleté, bien que pas assez à mon goût, un corsaire noir et des babouches. Nous nous sommes installés à table pendant qu’elle sortait les verres à vin de la vitrine. J’en ai profité pour jeter un regard à sa croupe, ce qu’elle n’a pas manqué de noter, puisqu’elle croisa mon regard dans la vitrine. Je n’en pouvais plus. J’avais envie de sa bouche. Le repas a commencé. J’avais envie de lui faire du pied, mais étais bien trop timide et peureux pour le faire. Nous avons parlé de choses et d’autres et en particulier, du maire de la ville. Le chef de maison a trouvé gracieux de se moquer de lui, du fait des infidélités de sa femme. Le sujet des femmes volages et des maris cocus étant lancé, je me sentais rougir de plus en plus. Et il en rajoutait le monsieur. Je ne savais plus où me mettre et quoi dire. J’avais l’impression de perdre tous mes moyens. Ma sexagénaire me regardait parfois dans les yeux sans rien dire; je me demande bien ce qu’elle devait penser à ce moment-là. Regrettait-elle ce qu’elle m’avait fait la dernière fois ou bien n’avait-elle qu’une seule envie : recommencer ?
    
    Le repas fut excellent et bien arrosé. Nous nous sommes ...