1. La beurette de ses potes (1)


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Elmatrake, Source: Xstory

    Je m’appelle Dounia, j’ai 19 ans, je suis en première année de fac de lettres et j’habite avec ma meilleure amie, Prescilia, que tout le monde appelle Prissou. Nous habitons en face du reste de notre groupe d’ami, Kamel et Pierre, tous deux en école de commerce à Marseille et avec qui nous étions de la seconde à la terminale. Je suis d’origine algérienne, je suis une danseuse de Kizomba avec tout ce que cela implique : une très grosse poitrine, des lèvres magnifiques des cuisses fermes qui accompagnaient un cul qui fait fantasmer tout le monde, je le sais. Je suis confiante, je connais mes atouts et j’en joue. Je ne suis pas une salope, mais j’aime la bite. Les choses sont claires.
    
    Prissou et Thibault sont ensemble, ils s’aiment fort et sont des exemples pour Kamel et moi, je sais qu’il aimerait être avec moi, mais je ne veux pas. Il n’est pas mal, mais je le vois comme mon frère, il est protecteur, gentil, généreux et beau, mais ce n’est pas ce que je recherche. Je veux quelqu’un qui me parle mal, qui me provoque, qui me tient tête, Kamel est beaucoup trop à mes pieds. Parfois, quand Prissou et Thibault passent leur soirée ensemble, nous restons avec Kamel aux « Couleurs », un bar juste en bas de l’immeuble où je cherche une proie pour la nuit. Je sais que j’ai tous les hommes que je veux à mes pieds, ce qui a le don d’énerver Kamel, mais ce soir-là, je tombe sur un bel homme, grand, 1m95 à vue d’œil, des muscles taillés dans la pierre, il s’approche de moi et mes jambes ...
    ... trembles, je me mords la lèvre, je n’écoute plus Kamel qui me raconte une histoire avec une fille dont je sais pertinemment qu’elle est fausse, il m’aborde et je plonge dans ses yeux verts.
    
    Après quelques banalités échangées, il m’invite à partir avec lui dans sa voiture, je reçois des textos de haine de Kamel qui me reproche de l’avoir laissé tout seul pour mon bon plaisir, je ne lui réponds pas, il ne m’en voudra pas longtemps de toute façon. Le mec conduit, nous allons chez lui apparemment. Il ne me parle pas, je n’ose pas prononcer un mot, je ne connais même pas son nom, peut-être qu’il me l’a dit, je n’en sais rien, j’ai tout oublié, à chaque feu rouge, il jette son regard dans mon décolleté et se mord la lèvre et laisse sortir un râle de désir qui me fait évacuer une flaque de cyprine, je n’en pouvais plus, mes jambes dansaient toutes seules. C’est un canon et je ne me languis qu’une chose, c’est qu’il me prenne ! Arrivé à destination, je n’avais pas la force de quitter la voiture, mes jambes n’étaient pas assez solides, il rigole et me porte jusqu’à l’appart, je n’ai jamais ressenti ça avant. Je m’attends à quelques choses de fou, dans ses bras, je sens sa force, je l’imagine en train de me prendre, je n’ai pas baisé depuis 3 mois, j’ai bien fait d’attendre.
    
    Arrivé, il me dépose sur le lit, il me retire mon pantalon et me bouffe la chatte. Il se retrouve noyé dans ma mouille qui ne s’arrête pas de couler. Il se lève, me regarde, et retire son pantalon, il libère ...
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