1. Les chroniques de Nature Et découvert : Bretagne ; baise, aide, hasch


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Nature et découvert, Source: Hds

    Les chroniques de Nature Et découvert : Bretagne ; baise, aide, hasch
    
    En cet été 1988, il fait très beau, nous sommes en Bretagne et pourtant ce récit est véridique ! « Nous » c’est moi, Aymeric, 23 ans, 1m86 et 12 ans de natation pour justifier un corps plus qu’acceptable et Valérie, 22 ans, 1m70, cheveux châtains très courts, aux formes féminines mais sans rondeurs excessives.
    
    Mais elle, c’est surtout Pussy, le surnom qu’elle porte couramment parce qu’elle a des yeux bleus de chat et que c’est dans la logique de notre quotidien de suppôts du punk-rock/new wave, ces branchés des années 80, ancêtres des gothiques contemporains. Pussy, c’est une icône, l’une de ces rares jeunes femmes de province qui dans sa ville aux mentalités étriquées ne craint pas de s’afficher provocante, impudique, rock et en même temps si naturelle.
    
    Tout au long de l’année, Pussy peut ne porter qu’un un simple body resille avec un mini kilt et des Doc Martens. Ou une jupe en cuir avec un caraco dentelle noir transparent sans soutien-gorge ou string rouge fendu et porte-jarretelles assortis et bas à motifs, perchée sur des escarpins rouges. Ou une robe courte en lycra noir hyper-moulante sans sous-vêtements et des talon-aiguilles noirs. Ou bien encore un jean moulant et un simple débardeur très échancré laissant voir ses seins au moindre mouvement. Bref…c’est Pussy et j’ai le plaisir d’être son mec depuis 4 ans.
    
    Cet été là, ses tenues habituelles sont anecdotiques car entre le camping où ...
    ... nous résidons depuis une semaine près d’Arzano et les plages du littoral, nous passons elle comme moi du port d’un simple short et d’un t-shirt à…rien, quand c’est autorisé ou qu’il n’y pas de public «sensible ». L’arrivée la veille au soir de nos trois copains Clément, Yacine et Ludo au camping n’a en rien entamé le naturel de ma compagne. D’ailleurs, notre mode de vie tribal / « bande de potes », le contexte des années 80 et l’usage de produits presque aussi stupéfiants que ma nana, faisaient qu’à la maison déjà, la notion d’intimité était un concept très relatif. Chacun avait pu apercevoir ponctuellement les autres en petite tenue, garçon ou fille. Mais en ce mois de juillet torride (en Bretagne, 23°C et pas de pluie depuis 15 jours, c’est limite Alerte Canicule), une nouvelle dimension érotique s’offre à nous.
    
    A leur arrivée au camping, la veille, nos trois amis ont intégré la tente 6 places que nous avions installée une semaine auparavant. La promiscuité avait déjà permis à tous de se régaler du retour de Pussy de la douche, vêtue d’un simple t-shirt long qui laissait deviner les détails de son anatomie, à la lueur de nos lampes Butagaz. Ce qui s’est passa par la suite dans cette tente fera l’objet d’un autre récit car ce jour de juillet nous sommes donc à la plage.
    
    Nous avions prévenu nos amis que Kerouini est une plage d’Erdeven où le naturisme est toléré et que personnellement, nous y allions pour cette raison. Clément, devenu pour l’occasion porte-parole du trio ...
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