2 divorcées se racontent - Collection histoires vé
Datte: 27/08/2021,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Lesbienne
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... amours. Ces étés étaient divins, j’ai passé mon oral de français, puis mon bac l’année suivante, et venais me réfugier chez mes grands-parents tandis que mes parents travaillaient. Le grand-père était déjà bien vieux, usé, il sortait très peu et restait autour de la ferme.
Mamie me laissait toute ma liberté, juste « Fais attention au loup, ne tombe pas dans son piège, garde la tête froide, c’est ta foufoune qu’ils veulent. »
Elle savait que je couchais… Elle y était passée il y a longtemps, avait eu un enfant jeune, un accident de grange… On riait… C’était Papy le père, mais elle ne l’avait pas gardé…
Je faisais leurs courses avec leur voiture, je n’en avais pas à moi. Je les emmenais au bourg, à la messe parfois, elle rencontrait ses copines, celles qui restaient… Je regardais les garçons au bar, pensant les revoir le soir à la fête…
Je revis le tracteur, son conducteur me fit un signe et s’arrêta…
Oui, je venais ce soir à la fête… Seule, oui… Tu viens me chercher au village ? Tu sais où je suis ?
En retournant, Mamy me demanda pourquoi j’avais l’air béat…
Je ne pouvais lui dire que cela faisait un an que je n’étais pas sortie avec un garçon…
Le soir, Marc passa me prendre, Mamy le connaissait… Il lui dit de ne pas s’en faire si je ne rentrais pas, la fête va se finir à la ferme, elle restera dormir avec nous, c’est mieux que de reprendre la route…
Elle avala la ligne, l’hameçon, et le reste…
Pas de tracteur ce soir, mais la voiture de ses ...
... parents…
Le bal était lancé et il me faisait virevolter, un rock des années d’antan, je montrais mes cuisses sans vergogne, et même ma culotte… Il m’embrassait, fier de sa conquête…
Plus tard les slows mirent le feu aux poudres, il me conduisit dans une maison de village… « Tu vois, c’est chez moi depuis cet hiver ».
Ses parents lui avaient donné sa liberté, récupérant l’ancienne ferme des grands-parents, Marc l’avait retapée. Ce n’était pas fini, mais habitable…
Fini le garçon pressé, son dard n’avait pas changé, et je me mis à l’ouvrage, en le déshabillant… Il m’effeuilla avec tact, en connaisseur, et le canapé du salon se transforma en ring, sa bite m’emmena au sommet des sommets, je me lâchais, criant mes orgasmes, il se régalait de m’entendre, de me sentir vibrer sous lui, en me donnant comme sa maîtresse attitrée…
Je m’assis sur lui, et fis glisser son dard en moi…
Ces instants devinrent des moments premiums de mon expérience…
Je me surpris à me servir de son sexe comme d’un vibromasseur, ondulant mon bassin en tous sens, le sollicitant avec hardiesse, sautillant sur ce mastodonte de chair qui m’emportait dans un état second….
Il m’aida, m’assista, me porta, me caressa les seins, le reste…
Je me fis jouir jusqu’à un sublime orgasme qui m’arracha des râles inattendus, princiers, le genre de sonorité qu’un amant adore…
Il adora et voulut le refaire toute la nuit…
Il me prépara avec délicatesse, et je connus ma première sodomie…
Le sexe qui ...