1. Les aventures d'un homme (presque) ordinaire...


    Datte: 26/08/2021, Catégories: f, fh, ffh, fbi, copains, uniforme, grossexe, forêt, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Masturbation Oral pénétratio, conte, délire, policier, sf, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... évidemment pas que j’ai la possibilité de devenir invisible, je ne me suis d’ailleurs que très rarement servi de cette particularité en sa présence, et bien entendu toujours à son insu. Là encore, prudence est mère de sûreté ! Même si je suis un piètre espion, je sais qu’il existe toujours un risque que celle qui « partage » ma vie ne soit pas aussi clean qu’elle le prétend et que je l’espère, alors, dans le doute…
    
    De l’autre côté de la porte, j’entends distinctement le sèche-cheveux, elle ne va donc pas tarder à sortir. Pour moi, pas question de m’asseoir sur un fauteuil ou même sur une chaise, la déformation en creux au niveau de l’assise me trahirait. Pas question pour autant de rester planté comme un piquet, c’est donc à même le sol, dans un coin du couloir mais à deux mètres tout au plus de ses vêtements, que je m’assois.
    
    Ah ! enfin, elle sort. Il n’y a pas de vis-à-vis à cet endroit, Malika sait donc qu’il est inutile de la jouer bêtement pudique, personne ne peut la voir là où elle est, et c’est donc totalement nue que je la vois apparaître. C’est marrant comme, en quinze jours, on peut changer… Elle a pris, à coup sûr, un ou deux kilos, ce qui lui va plutôt bien. Si le galbe de ses hanches n’a quasiment pas varié, j’ai l’impression que, côté poitrine, il y a un peu plus de monde au balcon et cela n’est pas pour me déplaire. Ah ! et elle est aussi passée voir l’esthéticienne, sa toison, bien évidement toujours délicieusement brune, est impeccablement taillée ...
    ... et laisse apparaître son délicat abricot, que la pointe de ma langue meurt déjà d’envie d’aller agacer. En voyant les fringues, elle ne peut s’empêcher de sourire.
    
    — Michel ? Tu es là ?
    
    Bien sûr que je suis là… Mais, bien entendu, je ne moufte pas, bien planqué dans mon coin, mais je profite tranquillement du spectacle qu’elle m’offre sans le savoir. D’abord, elle enfile les bas, sans se presser, puis c’est au tour de la jupe. Je l’entends marmonner.
    
    — Marrant, j’étais certaine d’avoir sorti un soutif et une culotte… Michel, tu es là ?
    
    Une fois encore, je ne réponds pas. Tout en enfilant son chemisier à même la peau, elle jette un coup d’œil circulaire.
    
    — Ha ! et puis j’ai oublié cette saloperie de téléphone dans la voiture…
    
    Mon téléphone à moi, il est constamment en vibreur. C’est une précaution, parce que l’on se doute bien qu’une sonnerie surgissant de nulle part – et sans possibilité de la faire taire, parce qu’encore une fois, je ne verrais ni mes doigts ni ce foutu appareil – cela ferait mauvais effet… Par contre, je décide de la suivre.
    
    Entre la porte d’entrée et le portail, le spectacle est magique : à chaque pas, sa courte jupe virevolte et dévoile la lisière de ses bas, mais elle ne semble pas s’en préoccuper. Pourtant, je l’ai vue se regarder longuement dans le reflet de la vitre de la porte de la cuisine, elle le sait… Et dans la rue, c’est encore mieux, elle adopte cette fois une démarche véritablement chaloupée qui, cette fois, découvre ...
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