1. Mélange d'histoires vraies et rêvées


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme chaussures, Oral Auteur: lifou, Source: Revebebe

    ... couloir. Ce qui me donna tout de suite envie d’elle. Sans faire de bruit, je me suis arrêté pour la regarder. Elle avait revêtu une robe pull rose qui lui arrivait aux genoux et une paire de bottes montant aussi aux genoux. Sublime, pensai-je. Je m’avançai vers elle, afférée à préparer un café et lui mis les mains sur les yeux.
    
    — Je t’avais entendu arriver
    — Moi qui croyais te faire sursauter, c’est raté. Mais je vais te faire frissonner alors.
    
    Et je lui remontai ses cheveux pour lui déposer de petits baisers sur sa nuque jusqu’à son oreille. Instantanément elle frissonna.
    
    — Mmmm, la journée commence bien, dit-elle.
    — Et attends la suite.
    — j’ai hâte.
    
    On s’embrassa alors longuement. Mes mains descendirent le long de son corps jusqu’à ses fesses que je commençai à caresser à travers la robe. Je remontai une main sur sa poitrine et lui dis :
    
    — Mais tu n’as rien en dessous ?
    — Tu crois ? Vérifie.
    
    Doucement, je me mis à remonter sa robe. Au-dessus des bottes, je sentis le toucher soyeux de nylon, puis la dentelle d’une jarretière et enfin sa peau nue. Je continuai la remontée de sa robe pour découvrir son sexe nu.
    
    — Mmmm, t’es une vraie…
    — Salope ?
    — C’est le mot, oui.
    — J’avais l’impression que tout le monde me regardait dans les transports, comme si j’étais nue.
    — Mais tu l’es ! lui dis-je remontant encore sa robe pour plaquer son sexe contre ma cuisse.
    — Arrête s’il te plaît, ton chef ne va pas tarder.
    — Mais j’ai envie de toi.
    — je le sens ...
    ... bien, dit-elle en plaquant sa main sur la bosse de mon jean.
    
    Ni une ni deux, je lui pris la main et l’entraînai dans mon bureau, je fermai la porte et la plaquai au mur. Nos bouches se trouvèrent tout de suite, nos langues aussi. Pendant que Céline s’attaquait à la fermeture de mon jean, je remontai une main sous sa robe. Son sexe était trempé, mes doigts n’eurent aucun mal à la pénétrer.
    
    — Prends-moi vite et fort, me chuchota-t-elle.
    
    Je la pénétrai d’une seule poussée en lui remontant une jambe derrière mon dos.
    
    — Ouuiiii, c’est bon ça, prends-moi fort.
    — Tu veux plus fort ?
    — Ouuuiii, aahah… oui.
    
    Je la soulevai presque à chaque poussée puis je la retournai, elle se cambra et je pénétrai à nouveau au fond de son sexe. En regardant ses fesses qui venaient à ma rencontre à chaque aller et viens, pris d’une folle envie, je retirai mon sexe luisant de ses sécrétions.
    
    — Nooon, qu’est-ce que tu fais ? J’ai envie de te sentir te vider en moi, vite.
    — Attends, je déguste.
    
    Et là, j’appuyai mon sexe sur sa rondelle qui s’écarta rapidement pour me laisser passer.
    
    — Mmmm… Salaud !
    — C’était trop tentant.
    — Vas-y doucement.
    — Faudrait savoir… mais je ne vais pas tenir longtemps… aaaarrrggghhh..
    — C’est bon, je te sens te vider, ooouuiiii.
    
    C’est à ce moment-là que l’on a entendu du bruit et en un clin d’œil on a remis un peu de décence dans nos tenues et elle quitta le bureau. Mon chef arriva peu de temps après pour me demander un travail urgent. Plus tard ...
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