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Toutes les femmes s’appellent Marie : Marie Hélène retrouve sa compagne
Datte: 26/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... aussi je bande pour toi ! Marie. Déshabille-toi pendant que je m’occupe d’elle !» Je me penche pour embrasser la rousse flamboyante. Je me rends compte alors qu’elle est assez petite. Elle vient de retirer ses chaussures. Elle qui porte toujours des talons hauts, m’apparaît complètement différente. Elle m’abandonne ses lèvres pulpeuses et sa langue cherche aussitôt la mienne. Elle est au moins aussi goulue que sa maîtresse. Est-ce que toutes les gouines sont comme ça ? Je détache sa longue chevelure ce qui change aussitôt sa silhouette. Je commence alors à lui retirer ses vêtements. Je fais glisser sa robe sur les hanches tout d’abord puis à ses pieds. Elle se retrouve en sous vêtements devant nous. Marie n’en perd pas une miette non plus Volontairement, je lui laisse le soutien gorge pour avoir le plaisir de faire jaillir sa somptueuse poitrine au dernier moment. Sa culotte descendue, je découvre sa toison de rousse bien taillée autour du sexe. Enfin je lui demande d’ôter elle-même son soutien gorge abondamment garni. Ses deux obus me sautent au visage. Malgré son âge sa poitrine se tient bien. De grandes aréoles roses entourent des tétons fièrement dressés, preuves de son excitation. Elle me fixe d’un air anxieux, craignant peut-être mon jugement. « Tu es superbe ! Franchement, j’ai attendu toutes ses années et je ne regrette pas de te découvrir. Quel dommage de cacher ces trésors ! N’exagère pas tout de même ! Pas du tout ! Tu es magnifique ! J’ai ...
... hâte de goûter à ta chatte de rousse ! Je sens fort tu sais… Je… coule ! Je vais me régaler ! Je suis jaloux de Marie qui a dû y goûter souvent ! Elle adore me bouffer la chatte cette coquine ! Je la comprends, viens ! » Je plonge entre ses cuisses qui s’écartent pour m’accueillir. Bien avant de poser ma langue, son parfum de rousse envahi mes narines. Certains hommes n’aiment pas l’odeur des rousses mais moi j’adore. Je me délecte de son parfum intime et de sa corolle qui baille dont un liquide s’écoule déjà. Maïté a une silhouette plutôt généreuse sans être grosse. Sa poitrine et son bassin sont développés et avec sa taille fine, ils ressortent encore plus. Depuis toutes ces années où des hommes lui tournaient autour et qu’elle repoussait en se retranchant parfois sur sa situation de lesbienne, je découvre enfin le corps pulpeux de cette femme que je ne pensais jamais voir, ni tenir dans mes bras. Je la fais asseoir dans le canapé tout proche, écarte ses jambes et plonge mon visage dans sa chatte odorante. Fabuleux ! Le parfum intime de la rousse est comme un aphrodisiaque ! Maïté coule abondamment et gémit tout aussi fort. Marie vient s’asseoir à côté de sa compagne et les deux femmes s’embrassent. Marie caresse les seins de Maïté qui s’abandonne à nous. Mes genoux et ma nuque sont douloureux, mais je veux faire jouir la rousse avec ma langue et deux doigts. Il sera bien temps ensuite de m’en occuper avec ma bite. Je sais par Marie qu’elle ne déteste ...