1. Jeu de boules


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fhhh, inconnu, parking, fsoumise, hdomine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, sm, attache, fsoumisah, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... genoux. Elle découvrit que des couvertures avaient été posées sur le bitume, lui offrant un sol doux lui permettant de ne pas se blesser les genoux dans cette position. Cela finit de la rassurer. Cette séance de viol avait été organisée avec soin et son plaisir avait été pris en compte. La main qui la bâillonnait fut retirée et on la força à ouvrir la bouche, l’arrière du crâne posée contre le ventre d’un homme se tenant derrière elle. Alors que des mains – elle n’aurait su dire combien – se mettaient à lui caresser les bras, le ventre, les hanches, jouaient avec ses seins et ses lèvres intimes, on inséra dans sa bouche un sexe dressé. Le goût de latex légèrement mentholé qui envahi ses papilles la rassura encore. Par contre, l’homme était brutal. Il comptait apparemment jouer le scénario du viol le plus loin possible et ne se privait donc pas de la posséder, quitte à lui faire mal. Pendant ce temps, ses tétons étaient pincés, tirés, de même que ses lèvres intimes. Un doigt fut introduit dans son anus.
    
    Pour se rassurer, elle saisit l’objet de fin de jeu. Il se logea aisément dans sa main malgré les hommes qui la maintenaient. Il lui suffisait d’appuyer pour que tout s’arrête, mais elle ne le voulait pas. Son maître avait vu juste. Pour le moment, cela lui convenait parfaitement. Elle sentit cependant un certain refroidissement dans l’air et lâcha donc l’objet. Il y eut comme un soupir de soulagement et le jeu reprit de plus belle. Ils étaient attentifs à ces gestes, ...
    ... c’était indiscutable.
    
    Deux autres la prirent par la bouche, les autres s’occupant du reste de son corps avec précision et délectation. Elle fut ensuite remise debout et amenée plus loin. Elle se demandait comment ils voyaient dans l’obscurité ambiante car elle avait du mal à voir à plus de quelques centimètres devant elle. Elle remarqua alors que les bornes annonçant les sorties de secours les plus proches avaient été recouvertes d’un linge masquant leur luminosité. C’était pour cela qu’il faisait plus sombre qu’à l’ordinaire.
    
    Ils la forcèrent soudainement à s’allonger sur le capot d’une voiture. Le mouvement la prit par surprise mais ils furent doux et le capot, également recouvert d’une couverture, lui offrit un "lit" confortable. Des cordes furent passées autour de ses poignets et celles-ci furent nouées à la base des rétroviseurs de la voiture. Ainsi, il lui était impossible de se soustraire aux volontés de ses "agresseurs". On lui mit l’objet pendant à son poignet gauche dans la main avant de le retirer, comme pour s’assurer qu’elle pouvait toujours l’attraper et, une fois la vérification de sécurité effectuée, on lui attrapa les chevilles et ses jambes furent relevées. Ses reins arrivant au bord du capot, elle offrait ainsi parfaitement ses deux orifices aux hommes qui l’entouraient et le premier ne se fit pas prier pour s’avancer rapidement. Elle tenta de se débarrasser de ses liens, en vain. Elle tenta de resserrer les jambes, en vain. Elle lança un faible "non" mais ...