Ma rencontre avec une jeune étudiante pas si farouche que ça
Datte: 23/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
Auteur: Bestor, Source: Revebebe
... non sans avoir tenté de la combler. Mais elle avait refusé.
Nous arrivâmes donc sur le site, et assistâmes à une première réunion de présentation. La journée passa et on nous donna quartier libre à partir de 17 heures.
J’emmenai Lucie avec moi pour visiter le coin, car nous nous situions en pleine forêt et il faisait très beau pour aller se promener. Nous nous laissâmes porter à travers les bois jusqu’à ce qu’on arrive devant une de ces vieilles bâtisses abandonnées en pierre. Lucie eut très envie d’y entrer et c’est ce que nous fîmes. C’était délabré à l’intérieur mais il y avait de quoi s’installer confortablement pour pouvoir discuter.
Mais je commençai à repenser à ce repas au restaurant, à cette envie qui m’avait envahi, et que me saisit à nouveau. Nous discutâmes, elle me confia son sentiment de solitude et sa situation de célibat qui lui pesait depuis plus de six mois. À mon tour je lui expliquai mes déboires amoureux. Après une heure de discussion, je commençais doucement à succomber à la tentation et m’approchai doucement d’elle pour l’embrasser. Elle ferma les yeux et nous nous embrassâmes tendrement, laissant nous langues s’entremêler, et nos lèvres se caresser. Mais le lieu ne se prêtait guère à des choses plus sensuelles. Nous décidâmes alors de rentrer au gîte pour manger. Nous prîmes rendez-vous dans sa chambre à minuit afin qu’on ne nous surprenne pas dans les couloirs.
Il fut enfin minuit, je pris ma douche et me mis le plus en valeur ...
... possible. Je ne cessais pas de penser à ce que j’allais faire, pris entre le remords de tromper ma femme et l’excitation de faire l’amour avec Lucie. Je me faufilai jusqu’à sa chambre sans bruit et j’entrai.
Elle m’attendait, allongée sur le lit, et vêtue uniquement d’un string en dentelle qui laissait transparaître une entrejambe épilée. Elle portait un soutien-gorge assorti qui ne cachait quasiment rien. Elle était magnifique, fine au teint halé avec une poitrine ni trop grosse, ni trop petite et des formes juste là où il fallait.
Je me mis alors en caleçon, avant de la rejoindre dans le lit. Je m’allongeai près d’elle, le cœur serré et je l’embrassai à nouveau, la prenant dans mes bras. Je caressai alors doucement son dos et ses épaules et lui dégrafai son soutien-gorge. Je me reculai afin d’admirer sa poitrine ainsi libérée et, reprenant notre baiser, je fis glisser ma main sur son sein, agaçant délicatement son téton, ce qui la fit gémir légèrement.
Ensuite, je l’allongeai sur le dos et l’embrassai en descendant petit à petit le long de son corps, suçant au passage son téton durci par mes caresses. Je continuai en embrassant son ventre jusqu’à atteindre le tissu de son dernier vêtement. Là elle se cambra, afin de me permettre d’enlever le dernier rempart, ce que je fis avant de plaquer mes lèvres sur son intimité, que j’embrassai en faisant glisser ma langue sur son clitoris gonflé par le désir. Cela déclencha chez elle des ondulations de ses hanches comme si je la ...