1. Les vacances 8: Je découvre le côté pervers de mon infirmière


    Datte: 25/08/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... J’aimerai lui défaire sa serviette, la caresser… mais je suis incapable d’agir avec mes mains attachées. Elle me regarde fixement avec un sourire coquin alors qu’elle me frotte le bout de la bite et m’avoue:
    
    « J’ai passé la journée à penser à ta queue! »
    
    Elle dépose un baiser sur mon gland et m’abandonne.
    
    Elle revient de l’autre côté du lit, en chemin elle ouvre de façon très sensuelle sa serviette et me dévoile lentement son corps. Une fois à ma hauteur je veux la toucher, la caresser mais je ne peux pas. Marie Anne monte sur le lit et vient s’allonger en 69 sur moi. Je soulève la tête pour aller à la rencontre de ses grandes lèvres mais je l’entends me dire:
    
    « Non, pas celui-là!! »
    
    Avec sa croupe elle appuie sur mon visage pour m’allonger totalement sur le matelas. Elle s’assoit sur mon visage et fait basculer son bassin, ma langue qui ne la quitte pas descend de ses lèvres intimes à son périnée puis rentre dans sa raie. Quand mes lèvres sont autour de son petit trou et que ma langue s’agite dessus elle rajoute:
    
    « Voilà! »
    
    Et Marie Anne se penche pour gober directement ma bite.
    
    Alors que ma langue masse sa rondelle qui s’ouvre de plus en plus, j’aimerai lui caresser les cuisses, remonter sur ses fesses pour les écarter et admirer son oeillet s’ouvrir… mais je ne peux pas. Je me rends compte qu’elle a raison, ça aurait pu être pire ou… au contraire me donner encore plus d’occasion de baiser!
    
    En tout cas pour le moment je n’ai pas à me plaindre, la ...
    ... main gauche de mon infirmière particulière me tâte les couilles alors que sa bouche coulisse le long de mon sexe. Sa langue virevolte autour de ma tige pendant que ses lèvres me massent avec différentes pressions. En plus son oeillet vient de céder et ma langue commence à la sodomiser lentement.
    
    Une fois qu’elle est bien ouverte je fais rentrer et sortir ma langue à la même vitesse que ses lèvres glissent sur mon mât rempli de désir. Nous jouons buccalement pendant un bon quart d’heure quand son postérieur se soulève suivi de tout son corps. Le dernier contacte de nos peaux se fait entre sa bouche et mon sexe. Marie Anne se tient debout au-dessus et face à moi, ses pieds entourent mon corps.
    
    Comme la veille, mon infirmière commence à s’accroupir, elle empoigne ma bite mais au lieu de poser mon gland entre ses lèvres intimes, elle le glisse entre ses fesses. Elle étale sa salive, toujours sur mon membrane, sur son petit trou puis continue de s’assoir mais très lentement pour faire pénétrer ma queue dans ses entrailles.
    
    J’ai envie de poser mes mains sur elle, caresser ses petits seins, lui titiller le clito, l’attraper par la taille pour l’aider dans ses mouvements. Mais je ne peux rien faire d’autre que d’admirer sa chatte et voir chaque centimètre de mon sexe coulisser dans son cul. En posant ses fesses sur moi elle pousse un grand râle de satisfaction les yeux fermés.
    
    Quand elle commence à onduler du bassin, elle ouvre ses paupières et me fixe du regardant en me ...