1. La punition


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, champagne, fouetfesse, fsoumisaf, vêtements, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... suave, c’en est trop et je suis obligée de stopper mon léchage pour pousser des petits gémissements incontrôlables. Maryse se plaint :
    
    — Marie, tu perturbes le travail de notre élève, tu vois bien qu’elle ne peut pas gémir et me lécher en même temps.
    — Ne me dis pas que tu ne trouves pas excitant de l’entendre ; et puis voir d’ici son cul trembler sous mes claques, ça l’est encore plus.
    — Je dois reconnaître que tu as raison, d’ailleurs j’aimerais bien qu’elle s’active un peu plus bas. Il va falloir l’autoriser à s’agenouiller, elle n’y arrivera jamais sinon, finit Maryse en rigolant.
    — C’est bien pour te faire plaisir, Maryse, mais attends : il faut d’abord améliorer un peu sa tenue.
    
    Maryse me repoussant, je me relève en ayant toujours les jambes écartées. Je vois Marie prendre le grand couteau posé sur la table et l’approcher de mon entrejambe. Elle le fait glisser sur le tissu de mon pantalon toujours tendu entre mes cuisses, quelques secondes plus tard le textile cède. Je me retrouve ainsi vêtue des deux jambes du pantalon toujours bien tendues sur mes jambes. J’ai l’air ainsi de porter deux cuissardes s’arrêtant en haut de mes cuisses avec un bout de tissu pendouillant au bout.
    
    — Elle est parfaite maintenant, non ?
    — Oui, parfaite pour recevoir ma punition, clame Anne. Elle m’a assez déshonorée ce soir. Maryse tu devras attendre un peu.
    — Bien sûr, Anne, à toi la priorité.
    — Venez vous coucher sur le dossier du fauteuil, dit Anne-Marie en le tournant ...
    ... d’un quart de tour comme tout à l’heure.
    
    Alors que je m’installe, elle disparaît quelques secondes pour réapparaître munie d’une sorte de battoir en bois grand comme une planche à pain.
    
    — Mettez vos mains dans le dos !
    
    J’ai à peine placé mes mains que le premier coup tombe en faisant un bruit mat de claquement. Je sens mon corps se secouer sous l’impact, mais comme toujours, que du plaisir. Même décuplé car une plus grande partie de mon cul reçoit sa dose. Le rythme est lent mais le battoir tombe à fréquence régulière, chaque coup fait trembler mon corps un peu plus. Une fois encore mes gémissements sortent de ma bouche, incontrôlables et de plus en plus expressifs.
    
    — AAaah, AAaah !
    — Regarde ça, Anne, elle va jouir rien que par ça. Regarde comme sa mouille coule le long de sa jambe, éructe Marie.
    — On va voir ça.
    
    Le battoir s’abat plus fortement mais je suis trop en transe pour sentir une forme de douleur quelconque, incroyablement juste une vague de jouissance me submerge. Mon corps trop secoué par le traitement finit par faire glisser mon bustier. Mes seins libérés pendent alors dans le vide comme deux grosses poires juteuses se balançant au rythme de la sarabande dictée par le battoir. Puis je jouis enfin en poussant un cri aigu, je n’aurais jamais cru qu’un jour un tel artifice m’amènerait au Nirvana du sexe.
    
    — Cette salope jouit, écoute ça, Anne, t’es vraiment la reine du battoir ! glousse Marie.
    — J’aimerais bien faire la même chose, se plaint Maryse ...