Pas le bon frère (1)
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: MasterLola, Source: Xstory
... consommation un poil trop excessive de joints me donna une idée folle : prendre la place de mon frère dans le lit de notre cousine ! Après tout, elle était pratiquement incapable de nous distinguer, et la confusion serait encore plus grande dans le noir complet ! Peu m’importait l’éthique puisque Clara et mon frère avaient déjà transgressé les règles de la morale ! Pour assurer le bon fonctionnement de mon plan diabolique, j’avais versé une dose de somnifère dans le verre d’eau que mon frère jumeau buvait chaque soir avant d’aller se coucher. Il dormirait au moins jusqu’au matin !
Quand minuit sonna sur mon téléphone portable, je me dévêtis et quittais ma chambre dans la plus grande discrétion. En arrivant devant celle de Clara, je fus saisi d’une appréhension. Une fois que j’aurai franchi cette porte, je ne pourrais plus revenir en arrière. Coucher avec ma cousine allait changer à jamais nos rapports, et l’image que j’avais d’elle. La drogue présente dans mon organisme écourta mes questionnements, et je me décidais à franchir le seuil de la porte. Dans l’obscurité bleutée fournie par la Lune, ma cousine m’attendait (ou plutôt attendait mon frère), nue, et allongée sur son lit. Jamais je n’avais vu son corps d’aussi près, à part à la plage mais elle n’était jamais nue. J’avais plus que jamais envie de déguster son corps si mince et fragile et de porter à ma bouche ses petits seins juvéniles.
— Tu es en avance... Me dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.
— Je ...
... ne pouvais attendre.
— Alors ne perdons pas de temps !
A peine avait-elle prononcé ces mots que je me jetais sur elle et entamais un léchage corporel. Son cou, ses épaules, sa poitrine et son ventre étaient d’une extrême douceur et je pris plaisir à mordiller ses minuscules tétons.
— Oh oui, vas-y... caresse-moi comme si j’étais ta chienne... Murmurait-elle sensuellement.
Ma langue léchait avec passion sa chair qui frissonnait de plaisir devant tant d’attention. Ma salive humidifiait ses petits tétons qui se dressaient avec fermeté, les rendant encore plus agréable à déguster. Je les malaxais avec les dents, souhaitant plus que tout les croquer comme de petites friandises. Puis, ma bouche abandonna cette zone pour se diriger lentement mais surement vers son entrejambe qui me parut minuscule. Je me demandais comment le sexe de mon frère, qui de fait était aussi imposant que le mien, pouvait y pénétrer sans difficultés ! En attendant, ce fut ma langue qui, la première, explora l’antre dont les conventions sociales m’interdisaient l’accès. Je caressais de mes lèvres celles de son vagin, en effleurant au passage quelques poils pubiens. Le cunnilingus que j’entamais alors s’annonçait divin. Je me délectais des parois humides de ma cousine qui laissa s’échapper de sa bouche un soupir.
— Oh, mon dieu, je crois que...
Je n’eus pas besoin de connaître la fin de cette phrase puisque quelques secondes plus tard, un jus sucré octroya à sa chatte une nouvelle saveur. Ce ...