1. Bébert entre en scène


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, fhh, copains, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, attache, yeuxbandés, vengeance, occasion, fsoumisah, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... long cri de plaisir. Elle se cambre comme un arc, la flèche est en elle et ne la quitte pas, ses coups sont de plus en plus violents.
    
    — Ahhh ouiiii je jouis, encore des coups de queue encore, encore, Jean je te veux en moi encore OUIIIIIIIIII comme cela, que c’est bon tu es un dieu. Ahhhhh Jean encore, encore.
    
    De longs soubresauts agitent son corps et Bébert continue à la besogner. Il est lui aussi pris dans un orgasme qui le foudroie. Son sperme jaillit et inonde le ventre de Marie-Claude qui sent cette liqueur chaude couler en elle au plus profond de son intimité. Elle contracte au maximum son vagin comme pour presser un citron et elle agite son bas-ventre, elle veut lui vider les couilles, le rendre heureux, l’épuiser, se faire pardonner ses écarts de ce matin. Alors elle continue aussi longtemps qu’elle sent la queue de « Jean » en elle. Au bout de quelques instants, le membre diminue de taille pour redevenir le petit oiseau tendre qu’elle aimait caresser avec ses doigts et sa langue dans les moments de tendresse.
    
    — Ah merci Jean, tu as été formidable, c’était super, super, quelle jouissance, je coule de toi, regarde je suis inondée.
    — Oui Marie-Claude, pour un début c’est pas mal, mais je suis sûr que tu peux mieux faire, ce n’était qu’un début, maintenant je vais passer à des choses plus sérieuses.
    — Que veux-tu dire !
    — Tu vas voir, ma queue est encore toute raide, regarde, enfin je veux dire touche.
    
    Il guide la main de Marie-Claude vers son sexe et ...
    ... Marie-Claude pousse un cri de surprise.
    
    — C’est pas possible, pas si vite, aucun homme ne peut rebander aussi vite. Tu t’es drogué, ma parole.
    — Pour qui me prends-tu, je ne marche pas dans ce genre de combine, non je suis un mec normal. Ce sont tes anciens amants qui n’étaient pas à la hauteur, c’est tout.
    
    Marie-Claude est interloquée mais, elle doit se rendre à l’évidence, Jean bande comme si rien ne s’était passé, comme si elle n’avait pas été capable de le vider complètement. Marie-Claude se tait, elle est vaincue, une fois de plus, elle qui se croyait la reine des videuses de couilles.
    
    Elle n’est pas surprise quand quelques minutes après, ses jambes sont à nouveau écartées sans ménagement, posées sur les épaules de Jean et qu’une queue en pleine forme la pénètre doucement pour recommencer des va-et-vient lubriques. Elle se laisse aller à la douceur de ce membre et sursaute un coup quand un doigt s’enfonce dans son cul alors qu’un autre la branle doucement puis de plus en plus fermement. Le mélange de ces trois intrusions la soumet à un jeu de sensations nouvelles. Tout cela est amplifié car elle sent couler sur ses seins un liquide froid suivit par des miaulements qu’elle connaît bien.
    
    — Non Jean, pas les chats, c’est trop.
    — Mais non, ils sont mignons tout plein, et j’ai pas assez de mains pour m’occuper de tes seins, alors je prends des assistants.
    — Très drôle.
    
    L’excitation monte dans le corps de Marie-Claude et, malgré elle, elle prend plaisir à ces ...
«12...5678»