1. Yaelle, apprentie esthéticienne (1)


    Datte: 23/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: Juju85000, Source: Xstory

    Bonjour à tous,
    
    Pour commencer, permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Yaelle, je viens d’avoir 18 ans et je suis apprentie dans un salon d’esthétique, je suis d’un naturel plutôt jovial, douce, sincère et suis plutôt ouverte d’esprit. Pour mon physique, je suis une jolie brunette aux cheveux longs et lisses, j’ai des yeux verts, je mesure 1m76 pour 54 kilos, j’ai, au dire des garçons, un joli petit fessier bien ferme dû à mes séances de natation et course à pied. Ah oui, j’oubliais, je suis très fière de ma poitrine que j’ai héritée de ma mère, un joli 85C bien ferme et en forme de pomme. Voilà pour ma présentation. Je vis dans un petit appartement que je loue dans une petite ville de Vendée.
    
    Nous sommes début février, ce soir-là, je sortais de mon travail après une longue journée à épiler, faire des soins du corps. Je saluais ma patronne et lui dit "A demain". Je sortais donc de l’institut, vêtue d’un jean slim, de baskets, d’un petit débardeur très moulant avec un joli décolleté, d’un petit pull léger et d’un manteau long. Dessous ça, je portais uniquement un string ficelle. Je suis dehors et me rends compte que je suis partie ce matin trop peu vêtue et le froid hivernal me glace les os. Sous mon débardeur, je sens mes tétons se durcir.
    
    — Quelle idiote je suis d’être sortie aussi peu vêtue.
    
    Je pars en direction de mon appartement en pressant le pas. Il n’y a que 10 minuntes de marche, mais sous ce froid, elles me paraissent interminables. Les rues sont ...
    ... éclairées par des lampadaires hors d’âge, avec une faible luminosité. Je quitte le quartier commerciale et me retrouve dans ma cité HLM. Avant d’arriver à mon immeuble, je passe devant pas mal de jeunes qui traînent à fumer des joints et à boire des bières bon marché. J’entends souvent des sifflets et des commentaires obscènes lors de mon passage. Mi-flattée, mi-agacée, je ne réponds pas et fais semblant de ne pas avoir entendu.
    
    J’arrive enfin à ma porte d’immeuble. À côté de là se trouve un banc toujours occupé par un clochard, les soixante printemps bien sonnés. Raymond est répugnant, un vieux jean déchiré, un pull dont on ne distingue plus trop les couleurs d’origines, des godasses en cuir d’un autre temps et un manteau long qui ne ferme plus. Pour son aspect physique, difficile à identifier, des cheveux longs, bouclés et GRAS. Toujours une cigarette à la bouche, il ne manque pas de me sourire quand je passe et me faire admirer son sourire édenté. Étant bien élevée, je réponds toujours par un sourire discret et rapide avant de rentrer dans le hall de l’immeuble. Je tape le code d’entrée quand j’entends Raymond.
    
    — T’aurais pas une petite pièce, ma jolie ?
    
    — Heu, non, désolée, je n’ai rien sur moi.
    
    — Comment ça, tu n’as rien sur toi ?
    
    — Oui, je n’ai pas d’argent, j’ai oublié mon sac ce matin en partant à mon travail.
    
    — Ben, tu pourrais aller me chercher une petite pièce, je n’ai plus rien à boire ?
    
    Je réfléchis à un moyen de stopper cette conversation, mais ...
«1234...7»