1. L'âge ne compte pas


    Datte: 22/08/2021, Catégories: fh, 2couples, hagé, couple, extraoffre, vacances, Oral 69, pénétratio, hsodo, attache, confession, entrecoup, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... coucher.
    
    Lorsque j’arrive le lendemain matin dans la cuisine, j’ai la surprise d’y trouver Marie. Marie qui ne m’a pas entendu et qui me tourne le dos. Elle serait nue que ce serait moins frappant. Sa nuisette ne cache pas grand-chose, et au travers on voit parfaitement se dessiner la peau blanche des fesses, du moins de la partie qu’elle n’arrive pas à exposer au soleil comme je l’ai vue hier dans le jardin.
    
    J’avance pour me faire remarquer. Elle me voit. Je ne peux m’empêcher d’explorer du regard le côté pile, les petits seins bronzés mais aussi le triangle du pubis qui tranche. Si elle remarque mon manège, elle ne dit rien, et manifestement cela ne la dérange pas de se laisser voir dans cette tenue.
    
    — Bonjour, me dit-elle de sa voix étrange, et elle me fait la bise.
    — Bonjour, je réponds, légèrement surpris de cette soudaine intimité.
    
    Son sourire est angélique. Je la découvre vraiment. Elle affiche une sorte de fraîcheur, et son regard – des yeux bleus magnifiques – renforce cet air naturel. Une femme-enfant. Une de ces femmes que l’on ne peut que protéger, qui concrétisent en elles à la fois la sensualité par leur corps parfaitement sculpté, mais aussi la fragilité féminine.
    
    Mais elle attire mon attention en me montrant ce qu’elle a posé sur la table en préparation du petit déjeuner. Il manque de tout : pain, café, beurre, etc. Il faut dire que je petit-déjeune souvent au café près du marché.
    
    Deux minutes plus tard, un short et un polo rapidement ...
    ... enfilés, je fais quelques courses.
    
    De retour chez moi, j’entre directement par la baie vitrée qui donne dans le salon/cuisine. J’y découvre le plus beau des spectacles : mon couple de jeunes en train de baiser. Ils ne m’attendaient pas si tôt, et je comprends Pascal lorsqu’à son réveil il a découvert son amie dans sa nuisette.
    
    La nuisette n’est qu’un faible rempart à leurs ébats. Marie est appuyée sur le plan de travail faisant office de bar avec Pascal qui la fourre par derrière. La nuisette est juste relevée et il ne fallait que quelques centimètres pour que la fente soit accessible alors que le boxer de Pascal est seulement écarté pour laisser son engin disponible.
    
    J’ai une vision de profil du couple et si j’ai déjà vu des dizaines de fois une scène de ce type dans des vidéos, ici, sous mes yeux, dans ma cuisine, c’est différent. L’érotisme est partout.
    
    Dans les mouvements de l’homme qui enfile son amie à grands coups d’une queue que j’aperçois lorsqu’elle ressort avant qu’elle replonge dans le gouffre. Tige claire, effilée, un gland à peine marqué, parfaitement profilée pour son œuvre. Mais tige qui me paraît bien longue avec les bourses qui la relient au pubis blanc.
    
    Dans la position de Marie, à moitié allongée sur le bar, les mains crispées sur la bordure pour servir d’encrage et résister aux forces que la nature de son baiseur lui transmet.
    
    Dans le bruit si caractéristique du ventre qui claque les fesses à chaque fois que le vit est englouti.
    
    Mais aussi, ...
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