L'homme dupliqué
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fhh,
copains,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: Toubab_7, Source: Revebebe
À l’époque, j’allais bravement vers mes 25 ans. Je m’appelais déjà Sarah et m’occupais d’un magasin de vêtements. J’étais encore célibataire – une habitude pour moi qui ai toujours alterné vie en couple de plusieurs mois et années de solitude.
Puisqu’une histoire érotique digne de ce nom commence par une description de la principale protagoniste, voilà de quoi satisfaire aux canons du genre : on me range dans la catégorie des « petites blondes rigolotes ». J’ai des cheveux mi-longs, des yeux bleus clairs, une jolie petite bouche et des joues dont la carnation blanche fait qu’elles rosissent à la moindre émotion. Dernière chose, qui est loin d’être un détail, j’ai le nez fin et long.
Pour ce qui est de mon corps, j’ai appris à l’apprécier grâce à mes amoureux successifs. Adolescente, j’avais l’impression d’être montée à l’envers : dans les magazines, les filles avaient de grosses poitrines et de petites fesses et moi j’avais l’inverse. J’ai un buste fin avec de petits seins pointus, délicats chapeaux chinois surmontés de larges mamelons roses pâles. À partir de mes hanches, mon corps s’évase et, si mon ventre est relativement plat, mes fesses sont larges et rebondies, bien campées sur des cuisses musclées et des mollets ronds. Enfin, pour les messieurs qui se poseraient la question, mon mont de Vénus arbore une fière toison ; joli buisson blond qui dessine un épais triangle au bas de mon ventre et dont la pointe parcourt tout mon entrejambe avant de se perdre dans ...
... le sillon de mon derrière. Autrement dit, pas d’épilation intégrale pour moi. Je suis une vraie blonde et je le montre.
Quand tout commence, cela fait seulement quelques mois que je suis responsable d’une petite boutique de vêtements pour hommes. Il n’y a qu’un pas-de-porte qui me sépare de Myriam, ma patronne : à elle les costumes de grandes marques et de grosses marges, à moi le sportswear du week-end des cadres élégants. Le pas-de-porte qui est entre nos deux magasins a été vendu et c’est une boutique spécialisée dans le thé qui s’ouvre à la place de l’ancien cabinet d’esthétique.
Au début, je n’ai pas compris qu’ils étaient deux.
Je reçois la visite de courtoisie du nouveau voisin. Un jeune homme plutôt mignon, une silhouette vraiment mince et une apparence tellement soignée qu’il doit probablement être gay. N’empêche qu’il est charmant, sympa et qu’il me propose même de m’offrir un thé et de venir me l’apporter dans l’après-midi. Je devine bien une intention commerciale là-dedans mais ça ne m’empêche pas d’accepter.
À l’heure dite, je le vois revenir chargé d’un petit plateau. En plus de la théière, il y a un petit gâteau.
— C’est un fondant au chocolat noir et thé vert. Au cas où vous auriez une petite faim.
— C’est très gentil à vous, j’adore le chocolat !
— Quelle femme n’aime pas ça ?
— C’est vrai. En tout cas, merci beaucoup Pierre.
— Il n’y a pas de quoi… Moi, c’est Paul.
— Ah oui, Paul…
Il s’en va en me laissant à ma dégustation et à mes ...