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Mister Hyde 30
Datte: 22/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LVolante, Source: Hds
... ne suis pas tendre. – Je le sais. – Tu sais que j’aime manier le fouet. – Je le sais. – Tu sais que j’aime les femmes agenouillées. – Je le sais. – Que crois-tu mériter pour ta conduite de ce soir ? – Vous pouvez faire de moi tout ce que vous voulez. Quoi que je mérite vous me le donnerez. – Et si je ne te donnais rien alors que toi tu me donnerais tout… – Ce ne serait pas très généreux de votre part mais c’est votre droit d’exiger sans rendre. – Tu m’as accusé de viol, j’ai assez peu de raison d’être généreux avec toi… – J’avais peur pour Frédérique, je voulais qu’elle fuie loin de vous. Et puis, je vous en veux. Vous m’avez humiliée cette nuit-là, au bureau. Humiliée, excitée… Sans rien me donner. Sans me prendre comme vous auriez pu le faire. J’avais pourtant joué le jeu selon vos règles, je méritais cette récompense. Je pense la mériter ce soir aussi. – Qu’as-tu à m’offrir en échange ? – Mon obéissance, pour cette nuit. Ma persuasion, pour l’avenir : vous avez un projet auquel Frédérique s’oppose vent debout. Je peux la convaincre de l’accepter. Vous avez commis une erreur ce soir : vous avez négligé Frédérique. Ce n’est pas le projet en lui-même qu’elle rejette, c’est votre comportement à son égard. Vous avez considéré son acceptation pour acquise, du coup, vous vous êtes adressé à la mauvaise partie d’elle-même. D’ailleurs elle vous l’a dit. À partir du moment où Franck est impliqué, c’est à la mère et non à la soumise que vous ...
... deviez vous adresser. – Tu as raison. Et tu es loin d’être aussi bête que tu veux le faire croire avec tes airs nunuches et tes fringues à la mode. Pourquoi fais-tu cela ? – Parce que les hommes aiment ça et que j’aime les hommes. – Donc ton obéissance c’est… – Le meilleur moyen de vous avoir. – Approche. Dès que Julie fut à sa portée, Frédéric saisit sa crinière et la tira jusqu’à une sorte de tréteau dont les pieds étaient rivés au sol. Il bascula le torse de la femme sur l’étroit tablier et entreprit de ligoter poignets et chevilles aux quatre pieds. Ceci fait, il enserra la taille de Julie dans une étroite ceinture cloutée sous le tablier et qui immobilisa ses hanches. Le premier coup claqua aussitôt après sur les fesses de la fille. Elle le reçut sans broncher. Frédéric cessa sa fessée au bout de quelques minutes, lorsque le cul de Julie fut bien rouge et qu’elle commença à ressentir une douleur assez vive pour la faire geindre. Mais contrairement à ce qu’il aurait fait avec Frédérique ou Fanny, il ne calma pas le feu qu’il venait d’allumer ni ne marqua de pause. Il se saisit d’un martinet léger aux lanières longues et fines et le fit tournoyer dans le sens des aiguilles d’une montre. Il visa l’entrejambe. Avec cette impulsion, ce sont le clitoris et le sexe de Julie qui furent atteints. Julie n’avait reçu le fouet qu’une fois, longtemps auparavant. Elle était alors tout juste bachelière : une jeune péronnelle à la fois casse-cou et naïve. L’homme en ...