1. Une charmante compagne de voyage


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, inconnu, bus, train, douche, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, attache, journal, mélo, occasion, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... virevoltant sur nos pantalons. Nos mains se mettent à plat, le frôlement se transforme en caresse appuyée. J’ai envie de remonter, je peux ? Je remonte et tu fais de même. Ma main est posée à l’intérieur de ta cuisse, l’auriculaire frôlant la couture entre tes jambes. Le tien est posé sur ma braguette et commence à appuyer sur ma verge. J’appuie également sur ton intimité. Oh, c’est bon ce que tu viens de faire : tu malaxes ma verge à travers le jean comme pour en apprécier la dureté qui est, pour tout dire, à son comble. Mes doigts viennent appuyer à l’endroit de ton petit bouton. Ça commence à ne pas être discret tout ça ! Nos caresses continuent en essayant de dissimuler notre activité.
    
    L’annonce pour la gare d’Angers. Le temps est passé si vite. Pour moi, le voyage ne s’arrête pas car je dois prendre un autocar qui fait la navette jusqu’à Nantes. Il y a des travaux sur le chemin de fer entre les deux villes et il faut changer de mode de transport. Toi aussi tu prends le bus ? Serre ma queue très fort pour dire oui.
    
    Ouille ! Ça, c’est un oui enthousiaste !
    
    La suite, je l’écris a posteriori.
    
    Nous sommes très chanceux : deux cars assurent la navette entre Angers et Nantes sur le trajet Paris-Nantes de ce soir-là. Le premier est évidemment bondé mais tel n’est pas le cas du deuxième. Tout l’arrière, ou presque, est inoccupé car le plafonnier est en panne. L’obscurité n’attire pas les gens mais nous, oui. En fait, nous ne sommes pas seuls : un autre couple s’est ...
    ... placé dans la même zone mais pas à proximité immédiate.
    
    Le car démarre et vibre. Nos caresses reprennent, plus appuyées que jamais. L’obscurité le permettant, nous ouvrons nos jeans que nous faisons descendre sous nos fesses accompagnés de nos sous-vêtements. Nos manteaux sont toujours là pour nous couvrir. Le dispositif est complété par le chèche que j’ai acheté deux jours plus tôt à Alger.
    
    Je suis complètement dans sa main et elle me masse vigoureusement en ne s’interrompant que pour titiller mon gland avec la pulpe de ses doigts. Une goutte de plaisir vient lubrifier le bout et la caresse n’en devient que plus agréable. Mes propres doigts viennent se glisser dans sa fente tout humide et harcèlent son petit bout gonflé de plaisir.
    
    L’image de cette belle poitrine me revient à l’esprit et je tente de la caresser de ma main libre, la gauche. Comme ce n’est pas pratique, j’abandonne un instant son minou pour effleurer puis malaxer ses deux seins. Ils sont volumineux et lourds, comme je les aime ! Ça fait un peu penser à un gars qui tâte des melons au supermarché, dit comme ça.
    
    Elle lâche ma verge et se contorsionne pour enlever son débardeur et son soutien-gorge sans enlever son chemisier. Après un peu de mal, le résultat est là : le chemisier blanc est la seule barrière de tissu entre moi et cette belle poitrine. Elle ouvre deux boutons pour me faciliter l’accès et ma main droite, portant l’odeur de son intimité, vient plonger et enfin toucher les globes nus.
    
    Pour ...
«1...345...23»