Un train peut en cacher un autre - Histoires de Sexe

Un train peut en cacher un autre

... de temps. Que de retard à rattraper sur les plaisirs de la vie. Pourtant, ce n’était pas aussi excitant que d’exhiber sa jeune maîtresse. Le mamelon sous le bustier était encore peu proéminent et il se contentait de le presser du bout de son majeur. Il se demandait s’il pouvait se permettre de le dénuder discrètement. Petit à petit, il précisa ses caresses et laissa traîner son index à la limite supérieure du bustier. Le téton s’érigeait et un petit mouvement aurait suffi à le découvrir. Il glissa l’index sous le tissu et frôla l’auréole brune.

— Du calme… voyons.
— Je fais rien, se défendit-il sur un ton enjôleur.
— J’ai vu des wagons à étage plus loin, ils ont des toilettes spacieuses en bas…
— Vous êtes bien au courant, Mademoiselle… Demanda-t-il curieux.
— Je suis peut-être moins sage que tu penses
— Je vois… Mais c’est un peu petit pour accueillir des spectateurs… non ? Toi qui as l’habitude ?

La pique toucha et Julie lui tire la langue.

— Oui c’est dommage, ils auraient pu admirer mon doigté… Répondit-elle, le prenant de court.
— Très drôle…

Michel abandonna cette joute verbale. Il la retourna et l’embrassa tendrement, mais sans retenue, à pleine bouche. Il avait très envie d’elle maintenant. Il lui prit la main et l’entraîna vers les toilettes du wagon en question. Le couloir était vide et ils s’engouffrèrent dans le réduit. En fermant la porte sur eux, il vit leur principal admirateur, l’homme d’affaires, suivre le même chemin, mais n’en dit rien à ...

... Julie. Sitôt la porte fermée, elle lui rendit son baiser avec gourmandise, en s’amusant avec ses lèvres et sa langue.

— Vous m’avez donné envie Monsieur, il va falloir assurer…
— J’espère que je suffirais à la tâche…
— J’espère aussi, sinon il faudra que je cherche ailleurs… fit-elle avec un clin d’œil.

L’allusion semblait claire, mais était-elle sérieuse ? Michel savait que l’homme devait être maintenant derrière la porte, espérant sans doute que le loquet passe au vert. Il avait fantasmé de nombreuses fois sur le partage d’une femme avec un autre homme. En plus, Julie le provoquait. Mais allait-il pour autant ouvrir la porte ? Etait-ce bien ce qu’elle insinuait ? Avait-elle vu, elle aussi l’homme les suivre ? Etait-ce bien ce qu’il souhaite ? Troublé par toutes ces questions, il souleva nerveusement la jupe portefeuille et se saisit de ces fesses à pleines mains. Il les pétrissait, les écartait et les pinçait comme si elles devaient payer pour son indécision. Une fois de plus, un reflet, celui de la glace au-dessus du lavabo, lui revoyait cette image de ses mains sur ce si beau cul. Il se perdit dans ce spectacle, jouant avec le string et l’étoffe de la jupe. Julie, le voyant regarder par-dessus son épaule, tourna la tête et vit ce joli tableau.

— T’es vraiment un sale voyeur.

Mais tout en disant ça, elle sourit et cambra franchement ses reins pour rendre la scène encore plus érotique. Elle aimait voir son corps dans le plaisir. Parfois, pour se masturber, elle ...