1. Le grand-père de mon mec


    Datte: 20/08/2021, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce soir-là, je me suis retrouvée toute seule avec le grand-père de mon copain de l’époque qui s’appelait Théo. C’était en pleine campagne et nous étions arrivés trois jours avant. Nous attendions les résultats du bac et Théo avait prévu de passer la soirée avec des amis d’enfance. Il ne rentrerait que le lendemain.
    
    Je m’entendais bien avec le grand-père. Il me faisait rire et me taquinait tout le temps. Et ce soir-là, après le repas où nous avions bu du vin, il a décidé de me faire goûter de la liqueur de prune.
    
    A la première gorgée, j’ai cru que ma bouche prenait feu.
    
    « La deuxième passera mieux, tu vas voir, ma poulette, m’a dit le grand-père en s’amusant de me voir grimacer. »
    
    Nous étions assis dans le canapé du salon et il avait baissé le son de la télé qui diffusait un vieux film en noir et blanc. Ma tête tournait déjà à cause du vin rouge.
    
    J’ai repris une gorgée, puis j’ai dit :
    
    « Vous avez raison, ça coule mieux. »
    
    Il me regardait. Il était assis à ma gauche, très près de moi. Lui aussi avait beaucoup bu à table, et je sentais bien qu’il allait essayer quelque-chose. Ça ne m’inquiétait pas.
    
    Il m’a dit :
    
    « Je suis content qu’on passe une soirée tous les deux. »
    
    « Moi aussi, ai-je répondu avant de prendre une gorgée de prune. »
    
    Il a souri.
    
    « C’est vrai ? Ça te fait plaisir ? »
    
    « Oui, j’aime bien votre compagnie. »
    
    Il s’est alors mis à toucher mes cheveux que j’avais attachés en chignon.
    
    Je ne mentais pas, j’aimais bien ce ...
    ... vieux monsieur. Et j’ai aimé aussi sa façon de me toucher comme ça, les cheveux, puis la nuque. Je me suis tournée vers lui et je lui ai dit :
    
    « J’aime bien vos gros doigts rugueux. »
    
    « Ce sont des doigts de travailleur, ma poulette. Moi, j’aime ta peau toute douce. En tout cas, ton épaule est douce. Celle de ton bras aussi. Tu n’es pas choquée que je te caresse un peu ? »
    
    J’ai fait non de la tête et il a dit :
    
    « Tant mieux. Je n’osais évidemment pas le faire en présence de Théo, mais j’y pensais en te regardant. »
    
    « J’ai bien vu que vous regardiez souvent. »
    
    Ses doigts sont remontés vers mon épaule et il a dit :
    
    « Et ça ne t’a pas ennuyée ? »
    
    « Non, j’aime bien qu’on me regarde. Par contre, Théo n’aime pas trop ça. Il est très jaloux. »
    
    « Mais Théo n’est pas là ce soir. »
    
    « Non, il n’est pas là. »
    
    « Donc, je peux te regarder autant que je le veux. Et te caresser. J’ai lu dans tes yeux que tu aimais qu’on te caresse, je me trompe ? »
    
    « Non, c’est vrai. »
    
    « J’en étais sûr, a dit le grand-père en pinçant la bretelle de mon petit débardeur moulant. »
    
    Il était mauve et je ne portais rien dessous. Ma jupe était assortie, mais elle n’était pas moulante. Elle m’arrivait à mi-cuisses. J’étais pieds nus depuis la fin du repas.
    
    Il a fait glisser la bretelle de mon épaule, puis il a dit :
    
    « Monte sur mes genoux, ma poulette. »
    
    J’ai fini mon verre de liqueur, puis j’ai obéi. Une main du grand-père s’est posée en bas de mon dos. Tout en bas. ...
«123»