1. Le Voyage du CE


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Garouloup, Source: Hds

    ... concerne la mienne, les filles qui s’en sont servi ont toujours dit que « j’étais bien monté »… Toujours est-il que je n’arrive pas à faire de ma main le tour complet des deux queues réunies !
    
    - Tu peux accélérer si tu veux …
    
    … Ce que je fais…
    
    - Attends, on calme. Relâche. Enlève tes mains et regarde. Tu reprends dans quelques secondes. Juste la mienne, ou les deux ou la tienne : comme tu veux.
    
    Il a raison, j’étais au bord de la jouissance. Je me calme et profite de la sublime vue. Il remet sa main sur ma queue, et donc je prends la sienne. Il accélère, freine, redémarre… C’est insupportable. Il commente :
    
    - Je suis le maitre de ta jouissance … mais tu es le maitre de la mienne ! Tu me dis quand tu es prêt ?
    
    - Je suis prêt !
    
    - Non, pas déjà.
    
    Et il lâche à nouveau. Il dit :
    
    - Relève-toi sur les genoux.
    
    Et quand je suis relevé sur les genoux, il me prend à nouveau les couilles, qu’il malaxe longuement. Il en profite pour passer la main entre mes cuisses et remonter doucement vers les fesses. Il sent sûrement le tremblement : à la fois de l’excitation mais aussi de la réserve (même s’il est arrivé que des filles s’occupent – avec brio – de mon cul). Il remonte un doigt vers mon trou qu’il agace un peu en commentant :
    
    - On va pas tout apprendre d’un coup, ça se sera pour une autre fois !
    
    Je me sens soulagé, mais bizarrement un peu déçu quand même. Ceci dit, il a raison : il est déjà 8h45 et le petit-déjeuner n’est servi que jusqu’à 9h15 … et ...
    ... nous sommes encore à poil !
    
    - Remets-toi sur mes cuisses et prends ta queue. Tu peux y aller quand tu veux, mais tu me dis quand ça vient et on essaye d’être synchro, ok ? Tu peux jouir sur mon torse.
    
    Mon souffle se raccourcit, ma main accélère. Pas besoin que je communique, Olivier a bien vu que ça venait, ce que je confirme par un « ça monte »… Il accélère aussi le va et vient sur sa queue et quasiment en même temps nous lâchons tous les deux 5 ou 6 belles giclées de sperme qui viennent se mélanger sur son torse.
    
    Comme la veille au soir, Olivier crie « Ah, putain que c’est bon ! » au moment où son jus se déverse.
    
    Je suis exténué moi aussi, et après un grand râle je m’allonge sur Olivier poitrine contre poitrine sentant à mon tour les deux spermes se mélanger sur mon torse. Il m’enserre, me donne une petite claque amicale sur les fesses puis nous retourne pour passer de dessous moi à sur moi.
    
    Il se lève, me fait un clin d’œil :
    
    - Alors, t’as vu, c’était pas sorcier ! Allez, viens à la douche.
    
    Je le suis sous la douche où nous nous savonnons non sans éviter les parties sensibles… C’est aussi l’occasion de mater son cul, et d’y passer une main timide.
    
    - Dis donc, depuis hier soir tu t’es pas mal désinhibé !
    
    Quand nous nous rhabillons, les queues sont déjà à nouveau au garde-à-vous…
    
    Mais il est temps de rejoindre la salle du petit-déjeuner et le groupe nous accueille avec un « Ah, quand même, un peu plus on allait vous chercher… ».
    
    Mon sexe a ...