1. Un amour de mère (3)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: canis, Source: Xstory

    Après avoir lapé et fait jouir du con la belle Pam de toutes les façons possibles, je lui fais sucer encore une fois ma pine, l’enduisant bien de salive, je fais jouer le gland doucement le long de sa fente, du con au cul, une main sur le périnée, l’autre sur un sein. Une idée lumineuse me vient à l’esprit, elle est à ma merci, Pam a confiance en mon amour, je veux lui faire connaître le plaisir par la douleur, une gentille sensation SM, des pinces à linge un peu dures sur les tétons. Elle accepte tous mes fantasmes, les pinces lui font très mal, et s’élève la clameur des douleurs, hurlements déchirants dans la chaude nuit de l’été.
    
    Une main sur la bouche, l’autre lui bloque les mains, je l’enfile un peu rudement, elle pleure, mais bien vite ressent l’association de la douleur et du plaisir irradiés dans tout son corps, je fais vibrer un peu les pinces pour la torturer encore plus, une main sur sa croupe, deux doigts lui fouillent le cul, et elle jouit bien vite en grande quantité.
    
    — Oui ma cochonne, jouis fort, belle salope (lui tirant violemment les cheveux en arrière, je lui dépose un baiser pleine bouche) encore petite chienne, allez ! Jouis encore, tu sais que tu es ma grosse pute, alors jouis comme une grosse pute, bordel !
    
    Elle coule en continu la grognasse, sa clameur jouissive a repris le dessus, son corps contre mon corps, nos deux corps qui s’emmêlent, mon Dieu qu’elle est belle !!! Les draps sont vite trempés de liqueur et de nectar de bite et de ...
    ... chatte, j’alterne les cadences et l’intensité des coups de boutoir, et je tiens deux heures durant, Pam au bout de ma queue, avant d’être submergé par une éjaculation dévastatrice, les couilles vides, mon sexe sort de cette adorable fente avec un bruit incongru, et laisse un trou béant aux contours incertains, tunnel aux parois rougies par cette longue baise charnelle, conclusion d’un coït vaginal de luxe. Toute la durée de l’acte, ses muscles vaginaux ont littéralement avalé ma pine tout entière, elle avale comme maman, avaleuse de chibres avec la bouche et la chatte, j’espère aussi avaleuse par le cul.
    
    Je lui enlève les pinces à linge avant de lui sucer amoureusement les tétons meurtris, je veux lécher tout le reste du chantier, butiner tout ce qu’elle veut bien encore me donner, goûter ce mélange de cyprine mêlé à mon sperme, essayé de redonner à cette chatte une forme presque normale et une dignité bien méritée.
    
    Je m’allonge sur elle, nos lèvres se soudent et nos baisers durent une éternité ; échange de salive et de liquides séminaux restés dans nos bouches, ballets ou batailles de langues selon les pics jouissifs, moment de repos câlins où seul l’amour diffuse sa puissance éternelle.
    
    J’ai encore envie d’elle, de son cul aux fesses rebondies, j’adore ses cuisses où je veux rester toute ma vie, lui manger le con et le cul à longueur de journée. Pam veut faire pareil avec ma trompe et mes couilles, lécher et sucer comme un sucre d’orge ou une glace, c’est une forme de ...
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