1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (9)


    Datte: 18/08/2021, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... Maria nous ramène à la réalité.
    
    — Monsieur Émile vous attend dans le patio à 20 h 00. Soyez à l’heure.
    
    Elle part en courant, comme si sa vie en dépendait. J’embrasse Malika et rejoins le bord de la piscine.
    
    Je lui demande la tenue adéquate.
    
    — On va rester nue, mais on ne va pas oublier nos plugs.
    
    — Ceux avec la queue ?
    
    — Non, gros bêta, ceux-là sont pour les soirées !
    
    Je lui plug son p’tit cul. Elle en fait de même pour moi. On s’embrasse tendrement, on se caresse. Je bande comme un dingue. Elle en rigole. Je vois dans le miroir son bijou. Je lui mords l’épaule.
    
    — Hummm... J’adore quand tu me manges.
    
    — J’adore te manger.
    
    Je me mets accroupi. J’ai son sexe devant ma bouche. Je lui balance un petit coup de langue sur sa fente.
    
    — HUMPHH...
    
    Je lui gobe son clito. Elle tremble, vacille. Elle s’allonge sur l’épaisse moquette qui recouvre la chambre. Je la mange, la dévore. Elle se cambre. Je la saisis par les fesses. La vue de sa chatte rose ouverte et gluante m’attire. J’essaie de la baiser avec ma langue, de m’en servir comme une petite ...
    ... bite. Elle n’en peut plus. Elle me gicle dessus en hurlant son plaisir. Je lape cet hydromel de plaisir avec avidité. Je ramasse toute sa jouissance avec ma langue, furetant les moindres recoins de ce sexe qui s’offre à moi.
    
    — Arrête... Arrête... Tu vas me tuer...
    
    — Ce sera une belle mort... Lui dis-je avant de replonger le museau dans son sexe.
    
    — OUIIIII, SALOPE.... VAS-Y.... OUIIIIIII...
    
    Je viens de lui insérer deux doigts dans le cul et j’y vais franchement. Son jus coule dans ma bouche, sur mes doigts et sur la moquette. Elle jouit non-stop. C’est avec une douleur dans la mâchoire, la langue et dans l’avant-bras que je m’écroule entre ses jambes.
    
    — Ouf, Vanessa... Qu’est-ce que tu me fais...
    
    — Je t’aime... Lui répondis-je. J’aime te donner... J’aime quand tu jouis...
    
    — Hummmm...
    
    Nos respirations s’apaisent. Elle me caresse le crâne, le visage. Je suis bien. Je m’assoupis le nez à quelques centimètres de son sexe odorant.
    
    C’est Maria qui me réveille, qui nous réveille. Avec son accent grec, elle nous presse de rejoindre Émile dans ses appartements. 
«123»