Vacances étonnantes
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
hh,
vacances,
campagne,
Oral
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Calvin, Source: Revebebe
... J’ai vu aussi qu’il allait s’échapper. C’était impossible. J’ai posé mon autre main sur son torse et gentiment je l’ai repoussé vers le sol. Il luttait contre moi, mais pas assez pour me dire clairement que non, juste assez pour que je comprenne qu’il était indécis.
J’ai attrapé son sexe à travers son pantalon, et j’ai commencé à le masser tout doucement. Nous nous regardions et j’ai vu qu’il aimait ça. Ses yeux m’ont abandonné et j’ai vu qu’il regardait mon pantalon, qu’il voyait comme j’en avais envie. Il n’a rien dit et il a cédé à ma pression. Il s’est allongé et a fermé les yeux.
J’étais comme fou, je ne comprenais pas ce qui se passait, je me sentais possédé. J’ai ouvert son pantalon et son sexe a littéralement bondi hors de son caleçon. Sa queue était belle, longue, fine et je me suis mis à la caresser lentement, de haut en bas. Mes doigts se sont serrés un peu plus et je l’ai prise complètement. Il gémissait, les yeux toujours fermés.
J’ai appuyé un peu plus ma caresse, tirant la peau vers le bas, faisant sortir son gland tout brillant, puis le recouvrant à nouveau. Je le branlais lentement, serrant sa belle queue dans ma main. Son sexe n’en finissait pas de durcir. Je voyais les muscles de son ventre se contracter de plaisir et j’étais de plus en plus fasciné par son sexe. J’avais perdu toute mesure. Je me suis approché et j’ai posé mes lèvres sur son gland. Un cri lui a échappé. Fou d’excitation, je l’ai pris entièrement dans ma bouche.
Sa queue était ...
... bonne, douce sous mes lèvres et je voulais la garder là pour toujours. Je léchais son gland tout en appuyant avec mes lèvres le long de sa tige, j’allais lentement de bas en haut, hypnotisé, sentant l’odeur des ses bourses, allant de plus en plus profond. Tout à coup, il a gémi et, sans prévenir, s’est déversé en moi.
D’abord surpris, cette jouissance finit de me rendre dingue et je me mis à le sucer encore plus fort. Il criait presque à chaque giclée, ça n’en finissait plus, je buvais son sperme comme si ma vie en dépendait, j’essayais de l’aspirer tout entier. Il se tortillait, jouissait dans ma bouche et enfin, il se détendit.
Un peu gêné, j’abandonnai sa queue, et je le regardai. Il était rouge, décoiffé et surtout, je sentais qu’il ne savait pas quoi dire. Moi non plus. Nous sommes restés là un moment, puis il s’est levé et sans me regarder a pris son vélo.
Je l’ai suivi et nous sommes rentrés à la maison. J’étais très ennuyé. Je ne voulais pas qu’il se sente mal, et gêné aussi d’avoir tant aimé le sucer, le boire. Mon excitation était toujours là, mais j’avais peur de ce qu’il pouvait dire ou faire.
Rien ne se passa. Nous avons dîné en famille et les conversations passaient au-dessus de ma tête. J’évitais de croiser son regard et essayais de paraître détendu. N’y tenant plus, je suis allé me coucher tôt, prétextant un trop plein de soleil.
Dans mon lit, les images de l’après-midi revenaient et mon sexe demandait sa part. Je me suis mis nu et, fermant les ...