La petite culotte du désir.
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: thx21, Source: xHamster
... buste avantageux, dont elle ne semblait pas avoir honte, bien au contraire. Ainsi, combien de fois, me surprit-elle, le regard fixe sur ses protubérances mammaires, me souriant d’un air satisfait et non d’un regard courroucé.
Annette était mariée sans enfant. Son mari exerçait son métier dans une usine de province et ne revenait que quelques fois, en fin de semaine. Elle compensait cette absence qui ne semblait pas beaucoup l’ennuyer, par de nombreux amis et amies. Certaines relations avaient même fait l’objet, à la maison, de commentaires quelque peu douteux de la part de mes parents. Je compris vite que c’était, ce que l’on appelait à cette époque, une femme libérée. J’allais vite comprendre, ce que cela pouvait plus précisément signifier.
Pour revenir à l’aspect de cette dame, je pouvais admirer chaque fois que je la rencontrai, à la maison ou dans la rue, qu’elle portait toujours une tenue différente. Mais à chaque fois, c’était une tenue raffinée, jamais décontractée ou ordinaire. Parfois en robe, Annette semblait préférer les ravissants tailleurs agrémentés de sublimes chemisiers et corsages légers mettant en avant sa poitrine parfaite. Les jupes, plutôt longues dans ces années-là, moulaient à merveille ses longues jambes, ainsi que son fessier qu’elle portait bien rebondi, mais sans aucun excès graisseux.
Et puis, et cela me fascinait beaucoup, Annette complétait toujours ses tenues très féminines d’accessoires divers qu’elle renouvelait souvent : Tout ...
... d’abord, il y avait ses souliers, toujours impeccablement assortis à sa tenue. Cela allait des classiques escarpins aux longues bottes en cuir en passant par de petites sandales ajourées, et toujours de fins talons très hauts. Et puis il y avait ses bas, en général à l’ancienne mode, c’est à dire à couture, et de toutes les teintes : blancs, noirs, fumés, chair, crème. J’étais quasiment sûr qu’elle portait des bas car à la vue de sa classe, elle ne pouvait pas porter de collants. J’ai su par la suite que je ne m’étais pas trompé.
Comme je l’ai déjà dit, Annette appréciait beaucoup qu’on la regarde. Et ce n’était pas le regard envieux d’un adolescent pubère comme moi qui semblait la gêner. J’en eu une preuve flagrante un jour où je faisais une réussite de cartes sur le tapis du séjour. Juste à côté, se déroulait un sempiternel thé-gâteau auquel maman avait invité trois voisines, dont Annette. Ma position assise sur le tapis n’était, bien sûr, pas innocente. C’était un lieu privilégié pour pouvoir mater les jambes de ces dames. Les jambes, mais aussi un peu plus haut lorsque l’occasion s’y prêtait. Et cela arrivait assez souvent, sans volonté de la part de ces femmes. Ce jour-ci, lorsque ma tête remonta et que je vis les longues jambes juchées sur des fines sandales à talons fins, je regardai le visage d’Annette et m’aperçu qu’elle m’avait surpris comme un débutant. Son regard n’était pas fâché et elle semblait me demander de continuer à l’admirer. Je vis alors ses jambes se ...