Hypnose Mécanique 09
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... fait avec méchanceté, serrant fort, pourtant je sens qu'elle tremble, elle a voulut se donner une contenance. Je sens immédiatement qu'elle n'est pas faite pour ce job. Mais je m'occuperais de ça aussi plus tard.
J'ai croisé quelques personnes en traversant l'université menotté. Certaine que je connaissais, je savais qu'ils préviendraient Siobanne. Ils m'ont fait monter dans leur véhicule banalisé. Le commandant s'est mis au volant, il a traversé la ville sirène hurlante.
Au commissariat il m'a mit dans une pièce, avec un policier en tenue pour me surveiller. J'ai patienter au moins trente minutes avant qu'il n'arrive pour m'interroger. Je pense que c'est une de ses techniques, mais je garde mon calme, je n'ai rien à me reprocher. J'ai ma conscience pour moi. Finalement ils entrent tout les deux. Ils s'assoient en face de moi. Le regard de la policière est fuyant, on dirait vraiment un moineau brisé, cette pute m'excite. Mais il faut que je me consacre. Je fixe mon regard dans celui du commandant. Il prend enfin la parole.
- Bon, vous êtes dans de beaux draps.
- Je n'ai rien à me reprocher.
- Ils disent tous ça.
- Peut-être, mais moi c'est vrai. On m'accuse de quoi.
- De plusieurs viols. Assortie de tortures et de traitement inhumain.
- Je n'ai violé personne. Qui m'accuse?
- Aurélie Dumont.
- Quoi?
- Vous avez entendu, votre jeune collègue vous accuse de viol. De plusieurs viols, pendant tout le week-end férié. De jeudi soir à lundi ...
... matin.
- C'est impossible, elle ment. J'ai couché avec elle hier soir, mais elle était consentante.
- Justement, elle vous accuse aussi de l'avoir violée hier soir.
- C'est absurde, je l'aurais violée pendant trois jours, là elle n'aurait pas porter pas plainte. Elle attends le lundi soir, que je retourne chez elle pour le faire?
- La peur, l'en a empêchée. Mais quand vous êtes retourné la voir lundi soir, elle a compris qu'elle ne s'en sortirais pas, que vous reviendrez souvent.
- C'est du n'importe quoi. Il y aurait des traces de viols, là j'ai été vraiment doux.
- Et ça, c'est quoi?
Je vois des photos du corps d'Aurélie, prise par le légiste. Son corps est couvert de bleu, de traces de coups, de morsures. Celui qui lui a fait ça ; à même joué avec une clope, j'en vois les stigmates. Je comprends enfin la pénombre, cette pute ne voulait pas que je la vois, enfin pas que je vois les marques de son atroce viol. Bizarrement, cela me fait grave bander. Heureusement je suis en jeans, les flics ne le voient pas.
- Actuellement elle est opérée en urgence, reconstruction vaginale et anal. Vous y êtes allé tellement fort, que vous lui avez aussi fait de grave blessure interne.
- Mais je suis innocent!
- On a votre ADN, prélevé hier soir sur sa culotte, dans son vagin, dans son rectum, sur le canapé, sur son visage même.
Elle m'avait piégée, elle ne mouillée pas hier soir, elle saignée, j'avais réveillée ses blessures internes non cicatrisée. C'est pour cela ...