Le Mauvais Chemin 07
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... immense pièce. Il y avait une cinquantaine de lits de camp. Une vingtaine était occupé par des hommes se reposant. Il y avait aussi plusieurs grandes tables. Deux étaient occupées, chacune par quatre hommes jouant aux cartes. Igor fit stopper Stéphanie. Il lui sourit encore une fois. Toujours ce même sourire pervers, méchant, sadique.
- Ce sont mes meilleurs hommes. Tu feras sûrement connaissance avec eux après.
Stéphanie ne répondit pas, se contentant de gémir de terreur. Cela fit rire le géant.
- Allez, on repart, on est presque arrivé.
La troisième salle ressemblait à la pièce de sécurité d'une prison. Des tas d'écrans recouvrait le mur de gauche ainsi que le mur de droite. Stéphanie put voir avec horreur que le viol de sa mère, avait repris, il était filmé sous plusieurs angles. Sur le troisième mur, il y avait cinq portes.En tout une dizaine d'hommes surveillaient les images des caméras. Igor regarda Stéphanie :
- On est dans un ancien laboratoire secret de l'armée française. Il à été fermé à la fin des années soixante. Ça revenait moins cher au gouvernement de l'époque d'en construire un plus moderne que de le remettre au normes. Il date des années vingt. Mais comme tu vois, un peu de rénovation et tout marche très bien. Un de mes meilleurs associé l'a racheté il y a quinze ans. Officiellement pour en faire un laboratoire de recherche médicale. En fait c'est moi qui suis chargé de le gérer.
Stéphanie ne répondit pas, se demandant pourquoi il lui ...
... raconté tout ça.
- Salim, ouvre moi la porte une.
- Bien patron.
Igor fit avancer la jeune femme vers la porte ouverte. La pénombre régnait, elle n'y voyait pas grand choses. L'Albanais appuya sur un interrupteur, les néons du plafond s'allumèrent. Stéphanie poussa un cri d'horreur en voyant ce qu'il ce qu'il se trouvait dans cette pièce.
C'était immense, il y avait au moins trente cellules. Certaine occupée, d'autres non. Igor rigola en voyant le visage décomposé de la fille.
- Viens, je vais te faire les présentations.
Dans la première cellule, une rousse, nue, elle devait avoir environ vingt-cinq ans. Elle leva vers Stéphanie et Igor, les yeux les plus dénués de vie que la jeune femme n'ai vue.
- Elle c'est Judith. C'est une policière municipale. Pendant les émeutes d'il y a quatre ans, elle a voulut poursuivre un des jeunes voyous. Dans la cité cette conne. Quand il est entré dans un hall d'immeuble, elle n'a pas hésité à le courser dans les caves. Pas de chance pour elle, on était une dizaine. On la prise par tout ses trous, pendant vingt jours non-stop. Ensuite je l'ai prêter a des caïds d'autre cité, pour la paix des gangs. Une fliquette, même municipale, je peux te dire qu'ils ont adorés, elle beaucoup moins. Maintenant elle tourne dans les squats d'immigrés, ses trous sont tellement élargis, que même sur les chantier ils n'en veulent pas. Dommage que cette pute ne puise pas se reproduire. Mais bon à deux euros la passe, elle me rapporte encore un ...