1. J'offre ma femme à mon fils (1)


    Datte: 16/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    ... la boite de pandore. Je commençais à prendre conscience de ce qui s’était passé, et du danger qui nous menaçait.
    
    Mes craintes allaient s’avérer fondées. Car Carole et Mathieu avaient visiblement apprécié leur première expérience.
    
    Deux jours après, en rentrant à la maison j’ai entendu venant de la cuisine des bruits pour le moins suspects. Pendant que sur le feu chauffait sous la cocotte-minute du repas, une autre cocotte était en pleine ébullition : la minette de ma femme, bouillante d’excitation. Carole était penchée sur la table de la cuisine, sa jupe rabattue au-dessus de la taille, culotte baissée, bien cambrée en avant. Derrière elle Mathieu, les deux mains agrippées sur les hanches de sa mère, était en train de la baiser, la bourrant de coups de bite bien sentis. Carole de toute évidence, appréciait cette façon qu’avait son fils de la distraire de ses tâches ménagères, gémissante de plaisir.
    
    De façon ridicule j’ai fait "oups, désolé" pour m’excuser de les avoir dérangés.
    
    Mais où va-t-on ? Depuis quand un père s’excuse d’avoir dérangé son fils en train de baiser sa femme ???
    
    — Philippe ! Reste là s’il te plaît, regarde-nous !
    
    Le ton de voix de Carole était impératif. Alors je les ai regardés. J’ai sorti ma queue et à nouveau je me suis masturbé devant eux.
    
    A nouveau j’étais admiratif de la vigueur, de la force avec laquelle Mathieu baisait sa mère. Il envoyait des coups de reins qui auraient démonté des plus fragiles que Carole. Sans doute ...
    ... étaient-ils en train de baiser depuis un moment car Mathieu ne tarda pas exploser de jouissance à l’intérieur de sa mère.
    
    C’était pas prévu, ça ! Une fois le fantasme réalisé, en théorie on arrête, on revient à une vie normale. Mais là c’était l’inverse : ça continuait de plus belle.
    
    Un peu penaud Mathieu s’est rhabillé pendant que Carole, pas le moins gênée du monde, attrapait un sopalin et essuyait sa chatte, dégoulinante de sperme. Elle remonta sa culotte et se tourna vers moi avec un sourire ironique.
    
    — Philipe, mon chéri, j’ai l’honneur de te dire que ton fils est un très bon coup ! Tu devrais être fier de lui. Comme tu as pu voir, il a fait de gros progrès en peu de temps !
    
    J’hésitais à me réjouir. Depuis quand un père devrait-il être fier de son fils qui baise sa mère ? Car Carole et Mathieu ont commencé à faire souvent l’amour ensemble. Ils aimaient ça, et puisque je l’avais autorisé une fois, ils en profitaient.
    
    Le soir, après le repas, je voyais Carole disparaître dans la chambre de Mathieu. Je savais que c’était pour se faire baiser. Elle revenait une demi-heure après, à moitié débraillée et visiblement ravie du bon coup de bite qu’elle avait reçu.
    
    Parfois j’allais les voir. Je les trouvais en pleine action, dans des positions sexuelles chaque fois différentes. J’essayais de ne pas montrer mon embarras et parfois même je me masturbais en les regardant... Parfois Carole me laissait faire, mais parfois aussi elle me rembarrait.
    
    — Tu peux nous laisser ...
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