1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 15/08/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... pour m’offrir cette somme. Il était pas mal fait d’ailleurs. Vengeance ! Et si je me vengeais comme cela ? Je raconterais ça à mon mari juste pour voir sa tête. Tête de Cocu. Retour à l’envoyeur.
    
    Sans plus réfléchir, je sors dans le couloir. On entend l’eau couler. L’homme doit y être encore. Je pousse la porte qui s’ouvre, il ne l’a pas fermée. Il me tourne le dos, je peux voir sa musculation et ses fesses bouger alors qu’il se savonne. Je le regarde quelques secondes. Après tout pour faire cocu mon mari autant prendre un mâle costaud. Je ferai une photo pour lui montrer que je ne mens pas.
    
    L’homme se tourne. Nous nous regardons un moment. Son pénis se balance. Son pubis et tout le reste est couvert de poils. C’est fou ce que ces poils peuvent renforcer sa virilité.
    
    Je m’entends dire :
    
    — 50 € c’est d’accord pour une pipe. Rejoignez-moi chambre 33.
    
    Je tourne le dos, mais j’ai l’impression de jouer un rôle lorsque je me retourne pour dire, en montrant d’un geste.
    
    — Bien propre, surtout.
    
    Je m’enfuis. Dans ma chambre, je réalise ce que je viens de faire. Non, il faut que je ferme à clé. Je lui dirai que j’ai changé d’avis. Il frappe.
    
    — Madame ! Madame !
    
    La voix est suppliante puis coléreuse. Il doit se dire : « Un deal est un deal. Merde elle est venue dans la douche… » Il a raison. Je me suis mal comportée avec lui. Je vais le laisser entrer et lui expliquer. Mais une bonne résolution ne suffit plus, lorsqu’aussitôt il me tend des billets. ...
    ... Billets froissés. Billets de 20, de 10, de 5, pour constituer ce qui manifestement est une somme pour lui. Je me sens coupable de l’avoir relancé.
    
    — Oh, merci… Vous êtes si belle… Si… Française. Je suis le plus heureux des hommes.
    
    Il descend son short et me montre une verge rigide, en une érection magistrale que seule la jeunesse peut offrir. Une bite sauvage, tendue vers le ciel, jaillissant d’une forêt de poils qui renforcent encore cette impression de naturel. Il pose les billets alors qu’il avance vers moi, me repoussant vers le lit où je bute pour m’asseoir.
    
    — Vous voulez bien enlever votre peignoir. Vous êtes si belle, j’aimerais vous voir toute nue.
    
    Je me tortille pour l’enlever.
    
    — Oh que vous êtes belle ! Merci ! Merci !
    
    Il est si mignon, si spontané et surtout ses compliments se chargent de me rappeler mon mari, que je ne peux pas refuser. Sa bite trouve le chemin de mes lèvres. Je n’ai qu’à ouvrir ma bouche pour qu’il entre. Sa bite est si dure qu’elle se plaque naturellement contre son ventre et que c’est comme un ressort qu’il faut contrôler. Ses fesses sont des muscles que mes mains explorent, son torse une forêt ou je me perds. Et pendant tout ce temps, je le suce, je le lèche, je le pompe et même ses couilles sont un délice.
    
    — Oh. Madame. C’est bon, c’est bon. Continuez…
    
    J’ai soudain l’inquiétude de la protection. J’aurais dû lui demander une capote. C’est trop tard, mais au moins…
    
    — Tu ne jouis pas dans ma bouche, hein !
    — Non, non, ...
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