Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
hotel,
vengeance,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... le salaud, il n’arrête pas de te reluquer quand on va chez lui.
— Comment, un homme me trouve assez belle pour me regarder. Moi, ta femme, vieille, frigide, sans envies ?
— Réponds-moi.
— Eh bien c’est oui.
Il encaisse le coup, mais vois bien que quelque chose cloche.
— Et il t’a payée ?
Il compte du regard.
— Tant que cela ?
— Eh oui, mon chéri, ton épouse est appréciée. Il faut dire que je n’ai rien refusé. Tu sais tout ce que je te refuse, enfin ce que tu dis à ta pouffiasse pour qu’elle te plaigne et se laisse baiser. Tu vois, ça aussi m’a blessée. Tu sais très bien que je ne te refusais rien et que j’ai cédé au fil du temps à toutes tes envies.
— Je ne t’ai pas forcée.
— Non, je le reconnais. Tu vois, moi je suis sincère et je sais avouer que cela me donnait du plaisir.
— Donc ce mec t’a donné tout ce fric pour une nuit. Et bien !
— Qu’est-ce qui te choque le plus ? Le fait que j’ai couché avec un homme ? Le fait que je l’ai fait payer ? Ou le fait que j’en ai obtenu tant d’argent ?
Il ne répond pas.
— Rassure-toi, je ne vaux pas tant que cela sur le marché des putes.
— Je ne comprends pas, alors d’où vient cet argent ?
— Tu peux imaginer mon état d’esprit en quittant l’appartement, te laissant avec ta pouffiasse que tu baisais dans notre chambre. Le patron a été très sympa, mais contrairement à ce que tu penses il s’est très bien comporté. Il m’a donné une chambre. Une chambre qui donnait sur la rue, au troisième, quasiment juste en face ...
... de la fenêtre de la pièce où tu baisais. Le rideau était tiré, mais vous aviez laissé la lumière et je pouvais voir des ombres. Oh rien d’assez précis, mais moi je savais, j’imaginais. J’étais en rage, furieuse, bafouée. Alors quand un homme en sortant de la douche m’a proposé de l’argent pour une pipe, j’ai accepté.
— Quoi ?
— Oui. Parfaitement, dis-je en élevant le ton. Pas pour l’argent bien sûr, mais par vengeance. Mon seul regret, c’est que tu ne pouvais pas me voir.
— Ah !
— Mais, l’homme avait des copains et comme ils m’ont prise pour une pute, ils sont venus après.
— Quoi, tu veux dire que…
— Parfaitement j’ai fait la pute. On m’a payé pour coucher. Je ne dirai pas combien, sauf que le patron est monté lorsque la rumeur lui est parvenue.
— Alors lui aussi.
— Oui, lui aussi, mais je ne l’ai pas fait payer.
— Ah !
— Et c’était décevant. Tu peux comprendre cela ? Non pas qu’il n’était pas bien monté ou pas en forme, mais il était trop intimidé et m’a fait l’amour comme un mari à sa femme.
— Épargne-moi les détails.
— Oh, mais si je vais te donner les détails. Tous les détails. Parce que comme dit l’adage : « Le diable est dans les détails ». Je vais te dire, cette nuit j’ai eu les plus beaux orgasmes de ma vie. Tu vois et en plus je n’ai pas honte de l’avouer. J’ai été une pute pas comme les autres. On dit que les putes ne jouissent pas. Mais moi, si. Pourquoi d’après toi ?
— Maryse, tu n’es pas bien. On a dû te faire boire ou te droguer pour que tu parles ...