Échanges agréables 02
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exelmans, Source: Hds
... soumission !
Malgré cela, je ne vais pas assez vite à ton goût. Tu me fusilles du regard et tires un peu plus fort sur mon bras.
La soumise parfaite n'aura pas duré : "Doucement, les talons ne sont pas fait pour courir !"
La phrase à peine terminée, je me rends compte de mon affront…
Sans plus de cérémonie, tu tournes dans une rue déserte et me désigne le capot d'une voiture.
"Penche toi", ordonnes-tu avec un geste de la tête.
J'ouvre de grands yeux.
"Ne me fais pas répéter une seconde fois."
Légèrement prise de panique, j'observe la rue. Et je m'exécute, consciente que je n'échapperais pas à la correction.
Tu lèves ma robe, me caresse les fesses, doucement, en faisant des cercles.
Je prie intérieurement pour que personne ne nous voit... La première fessée retenti dans la rue. S'ensuit une seconde, une troisième... Au fur et à mesure que les claquent pleuvent, je ressens une chaleur qui se transforme peu à peu en douleur, calmée par le vent.
Tu te recules, pour observer ton travail. Je n'ose pas bouger.
À ton grognement de satisfaction, je resserre les cuisses. Je suis carrément excitée. Tu caresses encore mes fesses et glisses un doigt le long de ma vulve
Tu t'amuses à faire des allers-retours sur mon intimité de plus en plus humide. Je me cambre. Tes doigts remontent sur mon clitoris, que tu taquines. J'écarte les cuisses, tu claques ma vulve... Puis tu alternes les caresses et les claques... Quand tu sens que je suis proche de la ...
... jouissances, tu rabats la robe et me somme de te suivre.
La frustration prend le pas sur l'excitation. Ça coule le long de mes cuisses. Reprenant pied dans la réalité, je me dandine pour tirer ma robe - sans raison - par peur que les passants ne voient le liquide sur mes jambes.
Mon intimité palpite, grogne, te réclame, je veux serrer les jambes pour me finir toute seule, mais tu ne me laisses pas le faire. Nous marchons encore, tu recherches un endroit plus désert. Monsieur reste élégant, c'est ma première expérience dans la rue.
Un peu plus loin, tu déniches un cul-de-sac. Vide, entièrement vide. Sous un porche, tu m'embrasses à pleine bouche. Nous avons faim l'un de l'autre.
"À genoux, petite pute."
Je m'exécute. Tu ouvres la fermeture Éclair de ton pantalon et sors ton membre.
"Suce ma queue comme une petite chienne bien dressée."
C'est avec gourmandise que je saisis ton gland entre mes lèvres, que j'avale ta queue centimètre par centimètre, jusqu'à l'avoir au fond de ma gorge. Tu grogne de nouveau, me saisis les cheveux et me baise la bouche.
Tu retires ta queue, satisfait d'y voir autant de salive, reliée par un filet à ma bouche.
Tu me baises la bouche à nouveau, doucement, puis violemment, me laisse avaler une goulée d'air de temps en temps. Tu m'aides à me remettre debout et me retournes sans plus de cérémonie contre un pilier.
Tu te rapproche de mon oreille : "Elle va rester silencieuse, sinon, je ne la baise pas."
Tu remontes ma robe, ...