Retrouvailles
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
fh,
amour,
ffontaine,
Masturbation
massage,
nopéné,
Auteur: Volatyl, Source: Revebebe
... avec les pouces, jusqu’à la naissance des fessiers, puis remonte les mains à plat, pour englober la sensation.
Les minutes avancent, trop vite. Je te sens te détendre, ta respiration devient régulière, profonde. La nuque, le dos, les bras, tout y passe. Tu sens ton corps se lâcher et s’alourdir. Mes mains ne quittent jamais totalement ta peau. Il y a toujours un contact même lorsque je remets de l’huile.
Je replace la serviette du haut et ne dégage celle du bas que sur une seule jambe. J’ai une surprise. De la taille au pied, il n’y a pas d’obstacle. Tu es nue. Mais cela ne doit pas me déconcentrer. C’est mieux pour masser le fessier.
Des lombaires à la malléole, mes doigts font leur travail. Aucun muscle n’échappe. Je sens que la musique te berce, accompagnée du bruit d’eau de l’humidificateur. Lorsque mes doigts pétrissent l’intérieur de ta cuisse, tu écartes très légèrement tes jambes. Volontairement ? Je fais attention. Pas plus haut que la pliure des fesses. Heureusement, il fait sombre. Je ne suis pas tenté de regarder. D’ailleurs je ferme les yeux lorsque je masse. Très souvent. La sensation de la peau est bien meilleure. Esalen de la jambe pour terminer jusqu’à la malléole. Le pied ? Pas encore. Je passe à l’autre jambe.
Il fait chaud. Je sens mon corps chauffer, beaucoup. Le massage est un véritable exercice du corps. Tu sens cette chaleur qui se dégage.
J’ai dû me tromper. L’obscurité sans doute. Lorsque je t’ai massé le fessier et l’autre cuisse, ...
... j’ai cru percevoir de nouveau un léger écartement des jambes. Je te plie le genou pour bien faire le mollet. Pas de doute tu as recommencé. Malgré l’obscurité, je perçois une zone luisante. Au moins tu apprécies le massage.
Je commence d’ailleurs distinguer une odeur toute féminine qui n’a rien à voir avec les huiles essentielles. C’est le sourire aux lèvres que je continue en toute confiance. Je te chuchote à l’oreille qu’il est temps de se tourner. Je maintiens la serviette bien au-dessus de toi le temps que doucement, dans un état presque second, tu exécutes la manœuvre sans que je puisse voir ton corps. Les serviettes repositionnées, je reprends mes gestes.
Le visage. Délassement des muscles faciaux. Des clavicules vers la nuque, puis le crâne. Appui sur les épaules pour étirer la cage thoracique. Les bras de nouveau. Jusqu’au bout des doigts le massage se poursuit. L’interruption du changement de position ne se fait plus sentir, tu as repris ton état d’esprit tranquille, la respiration sans heurt, tu es calme et ailleurs.
Le torse est toujours un moment délicat. Placé derrière la tête, je plonge en avant, mes mains bien à plat passant entre tes seins, poussant en même temps la serviette sur le bassin puis remontant sur les côtés jusqu’aux aisselles. Ne pas attarder mes yeux sur tes seins est au-dessus de mes forces. Ils sont tels que je m’en souvenais. Mes mains jouent autour, mais ne touchent pas aux aréoles pourtant dures, les tétons dressés témoignant d’une ...