Le vernissage - Histoires de Sexe

Le vernissage

... bredouille une boule au ventre :

« Michèle Monsieur. »

« Et bien Michèle, plus jeune, n'avez-vous jamais expérimenté l'auto-servitude en vous bondant les seins, en vous mettant des pinces ou bien en utilisant de la cire chaude sur les partie de votre corps ? »

Sans me laisser le temps de répondre, les deux hommes m'attachent à la croix et la foule commence à scander :

« Le fouet ! Le fouet ! Le fouet ! »

L’homme au micro me dit :

« Michèle, j'allais vous donner le choix d'être la fouetteuse ou la fouettée, mais devant la demande de notre assemblée, je ne peux que me plier à leur exigence. »

Je gesticule sur ma croix et suis impuissante. Je les supplie mais en-vain. Mon sort en est jeté. Je vais être supplicié pour le plaisir de ces pervers. Se tournant vers le public, il leur demande :

« Combien de coup de fouet pour cette dame ? Cinq coups ? Dix coups ? »

Les deux inconnus répondent avant les invités :

« Non cinq ou dix coup pour une salope comme elle n'est pas assez ! »

L'animateur alors vient devant moi et me dit calmement :

« Alors Michèle nous allons vous faire jouir sous le fouet ! Ce ne sera pas cinq ou dix coup mais autant de coups possible jusqu’à ce que votre corps soit marqué sur les seins, le ventre, les cuisses et le sexe et que votre jouissance éclate ! »

Je suis attachée nue devant ce parterre d’obsédés. Moi qui ne devais qu'assister à un vernissage, me voilà la principale actrice de ce tableau vivant. J'ai la trouille ...

... mais une excitation insidieuse me taraude et cette expérience sexuelle malheureuse me fait mouiller malgré moi. Les deux inconnus, alors que je suis perdue dans mes pensée cauchemardesques, se saisissent chacun d'un fouet et le premier coup sur mon ventre me fait hurler et me rappelle dans quelle position désastreuse je me trouve.

Puis les coups pleuvent sans discontinuer. Aucune partie de mon corps n'est épargné. J'ai beau crier, hurler, rien n'y fait et le supplice me semble interminable. Je gesticule sous les coups et j'imagine que l'effet que je donne avec mes seins martyrises qui ballottent dans tout les sens doit donner pour le public une image d'un érotisme torride.

Ma peau me brûle les lanières strient mes fesses, ma chatte mes seins. La douleur est intense. Mais comme l'avait dit l'animateur, une monté de plaisir m’envahit. Le plaisir monte en moi. Les deux salops frappent de bon cœur. Ils me tapent alternativement sur les fesses, le ventre, la chatte et les seins. A ce moment, je me tends comme un arc et hurle dans un orgasme tonitruant. Les hommes stoppent de me fouetter et l’assistance applaudit la prestation avec enthousiasme.

Je suis anéantie et quand on me détache, je suis obligée d'être soutenue par mes deux fouetteurs. On me rhabilla tant bien que mal et un taxi me ramméne chez moi. Il me porte jusque dans mon lit et me demande une fellation comme paiement de la course. Au point où j'en lui je ne lui refuse pas ; Il jouit dans ma bouche, j'avale et ...