1. Travaux Routiers - Derniers couplets


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fbi, extracon, grossexe, campagne, Collègues / Travail pénétratio, pastiche, Humour Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... culotte fendue) Entendez comme ils chantent l’amour… (L’index plonge dans la moiteur du sexe).
    — Aah ! Vous… vous n’êtes pas raisonnable, monsieur Louis.
    
    Dérisoire défense. De son autre main, Louis libère son sexe.
    
    — Aah ! s’exclame Odile, fascinée par l’apparition.
    
    Elle rêvait de cet instant depuis que Marie-Amélie lui en avait vanté les dimensions. Elle avance la main.
    
    — Oui, tu peux toucher, ça mord pas.
    
    Il se bat avec la jupe, découvre les cuisses. Odile positionne elle-même le gland, il n’a qu’à donner un léger coup de reins pour pénétrer.
    
    — Ooooh !
    — Je ne vous fais pas mal ? s’inquiète-t-il.
    — No… non… Aah ! … J’ai… Aah !… jamais… Aah !
    — Jamais baisé… Han !… avec une si… Han … grosse queue ! complète-t-il.
    — Nooooon !… Aaaah !… Ouiiii !
    
    Une de plus, se réjouit Louis. Et celle-là est drôlement gironde, en plus ! Autant que Marie-Amélie. C’est un plaisir que de la baiser. Il alterne les coups de reins rapides avec d’autres plus profonds. Odile ne sait où elle en est. L’énorme grosseur qui distend son ventre lui fait un bien fou.
    
    — Aaaaah !… Ouiiii !
    
    Un premier orgasme la secoue.
    
    — Aaaarrgg !
    
    Cela n’interrompt pas Louis qui amplifie ses va-et-vient. La jouissance renaît dans le ventre de la jeune femme. Elle noue les talons sur les fesses de Louis.
    
    — Ouiii !… Enco… Aah !… Encore !
    
    Les jets de sperme déclenchent une nouvelle secousse. Elle serre le bonhomme contre elle. Il a de la peine à donner les derniers coups de ...
    ... reins.
    
    — Aaaaah… Ouiiiii !… C’est… Ouiiii !… C’est boooon !
    
    Elle retombe, quasi inanimée, psalmodiant sous l’emprise de la jouissance.
    
    — Que c’est bon ! Que c’est bon ! Que c’est bon !
    
    Louis se rajuste et la regarde, attendri. C’est beau une femme qui vient de jouir ! Odile ouvre les yeux et rencontre le regard souriant. Elle reprend brusquement ses esprits. Elle tente de rétablir l’ordonnance de ses vêtements.
    
    — Mon Dieu, qu’avons-nous fait ?
    — Ben, s’étonne Louis, on a tiré un bon coup. C’était super, je vous assure.
    — Oh ! Taisez-vous ! Comment pouvez-vous parler ainsi ?
    
    La pauvre Odile éclate en sanglots.
    
    — Ce n’est pas possible ! Que va dire mon époux ?
    — Pourquoi lui dire ?
    — Je ne l’ai jamais trompé… snif… Je n’oserai pas… snif… me présenter devant lui.
    — Mais si, mais si. Laissez-le dans l’ignorance. Je suis sûr que ce soir, dans le lit, vous saurez lui donner le change.
    — Vous êtes un monstre !
    — Mais non, mais non.
    
    Odile renifle. Un sanglot soulève ses épaules.
    
    — Pourtant, avoue-t-elle, je n’arrive pas à regretter.
    — C’est gentil ce que vous me dites. Tenez, dit-il en présentant une serviette. Essuyez-vous les yeux, votre chauffeur et… euh… ma nièce vont arriver.
    — Vous croyez qu’eux aussi…
    
    Louis sourit.
    
    — Ça m’étonnerait pas.
    — Pourvu qu’ils ne disent rien.
    — Je suis sûr qu’ils seront muets comme des carpes.
    
    À ce moment, Hubert et Lisette, main dans la main, viennent à leur rencontre. Odile se lève d’un bond.
    
    — Monsieur ...