1. Trixie – chap 8 – Un Gode magique


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... oui, mais c'est le fait de voir comme tu prends ton pied qui m'excite !! »
    
    En disant cela, m'avait attrapée par la taille, plaquée contre lui, sa langue partit à la conquête de ma bouche, ses mains à celle de mes seins. Je ne sais pas comment, je me retrouvais couchée, à côté de mon string qui faisait une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remonté au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulée au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinaient mes mamelons, ses dents mordillaient juste la pointe, à la sortie des canaux galactophores, il savait que je raffolais que l'on s'occupe de mes seins. Les glandes apocrines situées dans l'aréole des mamelons produisaient des hormones qui augmentaient de manière subliminale l'attraction de mon partenaire. La libération d'endorphines, d'ocytocine, de prolactine et de testostérone entraînait une vague d'excitation sexuelle qui faisait augmenter la taille de mes seins de plus de 25 % et accélérait mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J'avais constaté que la stimulation de mes mamelons me détendait, mon stress et mon anxiété disparaissaient comme par enchantement.
    
    « Merde, j'ai oublié le gel lubrifiant...
    
    - Tu crois que je vais en avoir besoin ? Lèche un peu ma chatte... elle coule...»
    
    Il continuait à pincer, et à prendre mes tétons entre le pouce et l'index en les pressait doucement et tenait la pression. Si je donnais des manifestations de plaisir en gémissant ...
    ... d'extase, il augmentait le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression poussait alors le sang hors du mamelon, il relâchait, le sang revenait, créant une sensation intense de plaisir. Il était le seul à me faire ce genre de ''Truc''...
    
    Sa langue s'activait dans mon vagin trempé, ses lèvres aspiraient mon clitoris, ses caresses me rendaient folle.
    
    « Vas-y, mets moi le gode, défonce-moi avec cet engin... ouiiiiii... c'est ça... Ça ressemble énormément à la queue de Gérald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin... »
    
    Maxime, maniant avec dextérité l'énorme phallus factice, me fit grimper une à une les marches du plaisir, j'avais perdu la notion du temps. Je me retrouvais au bord du précipice de la jouissance, j'allais plonger... dans l’abîme du plaisir.
    
    « Non, non mets moi ta queue... je veux ta queue pour jouir...
    
    - J'allais te l'enfiler, tiens voilà, c'est fait... »
    
    Patatras... la sonnette retentit ! De la rue, la voix de mon mari m'appelait.
    
    « Trixie... Peux-tu venir nous ouvrir, j'ai oublié mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l'apéritif. »
    
    Dans le salon, ce fut le branle-bas de combat, j'enfilais mon string en toute hâte, abaissais mon pull, Maxime fit disparaître le gode dans la poche intérieure de sa veste, il se réajusta à toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombaient sur mes épaules, je n'étais pas trop décoiffée. ...
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