1. Comment j'ai trompé mon mari


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lancer, Source: Hds

    J’arrive en retard à l’apéritif, organisé par le club, dont Hervé, mon mari, en est le président. C’est la première fois que j’assiste à une troisième mi-temps. Il y pas mal de gens, de tout âges, et j’en connais très peu.
    
    Après l’apéro, Hervé m’a promis une soirée en amoureux. Repas au restaurant, viré en boite, puis nuit sans sommeil à l’hôtel. Je sens déjà le désir monter en moi.
    
    Je l’aperçois assis dans un angle mort de la salle, à discuter avec des copains. A côté, je remarque une chaise libre. Certainement la mienne.
    
    Pour le rejoindre, je suis obligés de passer entre la banquette, ou les joueurs sont installés avec leurs copines et de vieux dirigeants, et la table ou sont servis les boissons. Un vrai périple, car aucun ne me facilite le passage, bien au contraire. Evidemment, je m’excuse auprès de tout le monde.
    
    Parmi eux, il y a Sergio, président d’honneur, proche de la soixantaine, très séduisant. Je ne le connais pas, que de réputation d’homme à femmes, mais à sa façon de me regarder, je vois bien qu’il voudrait m’épingler à son tableau de chasse. Du reste, il a fait une promesse à mon mari, devant tout ses copains pour témoins.
    
    « Un jour, je baiserais ta femme, lui avait-il promis «.
    
    Evidemment, Hervé n’avait pas prêté attention, me faisant une totale confiance. Justement, arrivée à sa hauteur, je sens une main se poser sur mes hanches, tandis qu’une autre, remonte entre mes cuisses. Puis les deux mains s’unissent pour quitter ma culotte. Pour ...
    ... finir, Sergio m’oblige à m’asseoir sur ses genoux.
    
    Hervé ne s’aperçoit de rien, cachée qu’il est, par les joueurs.
    
    Pour ne pas créer de scandale, je ne dis rien.
    
    Au bout d’un moment, je sens un objet dur, très dur contre mes fesses, qui me fait sursauter.
    
    « Que vous arrive-t-il, Madame la présidente, me susurre-t-il à l’oreille ».
    
    « Oh putain, le salaud, c’est qu’il bande…puis il a l’air sacrément monté »
    
    Dans l’état ou je suis, je ne sais pas si je vais pouvoir résister à l’appel de cette bite en érection, et ce malgré la présence de mon mari.
    
    Je glisse une main en arrière, fait glisser la fermeture éclair de son pantalon. J’enfouis ma main dans le slip, en extrait une bite énorme. Ma curiosité m’incite à aller plus loin, jusque aux couilles, elles aussi dantesques. Sergio aussi est curieux de savoir jusqu’ou je veux aller. D’un geste calme, il insinue ses doigts entre mes cuisses, caresse mes lèvres intimes. Lentement, il me soulève, pour que je m’empale sur sa bite. Je parle seule.
    
    « Qu’elle est belle, vas-y, grosse bite, branle toi dans ma petite chatte…crache salope, oui, comme ça. Ouah, il avait envie le cochon ».
    
    Dans la seconde qui suit, j’atteins l’orgasme, que j’étouffe dans mon chandail.
    
    « L’enfoiré, comme il m’a baisée…comme il m’a fait jouir…si mon mari apprend ».
    
    Comme si de rien n’était, je m’arrange un peu, et reprends mon parcours du combattant pour rejoindre mon époux. J’éprouve mille difficultés pour me frayer un passage. Chaque ...
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