1. Sylvain… Ou Sylvie ? 3 - Déflorée (Fiction)


    Datte: 12/08/2021, Catégories: Anal Gay Première fois Auteur: Pascmich, Source: xHamster

    Il est 20 heures ; les rues qui grouillaient sous la chaleur de l’été se sont presque vidées. La circulation s’est appauvrie et je devine que dans les bâtiments voisins, les familles sont maintenant attablées. J’hésite encore à savoir si je sortirai dans cette tenue ou enfilerai un jogging pour rejoindre la forêt. Je ne tiens pas vraiment à être vue ou reconnue dans le quartier.
    
    Lorsque je referme la porte de l’appartement, je sens tout mon être envahi d’une peur inconnue jusque-là. Je prie pour qu’aucun voisin ne sorte sur le palier et me découvre ainsi travestie. Mais c’est bien décidée, malgré tout, que je fonce vers les escaliers. L’ascenseur, généralement trop emprunté, me parait trop risqué. Je dévale les étages discrètement pour atteindre la porte qui donne sur l’entrée, derrière laquelle, je marque une pause stratégique pour écouter ce qui pourrait se trouver derrière. Le silence… La voie est libre !
    
    J’ouvre, vérifie, hésite mais fini par rapidement sortir du bâtiment. Dernier coup d’œil aux alentours et je m’empresse à aller vers ma voiture. Je suis là, sur le parking, en femelle, parfaitement visible. Je sens l’air s’enfiler sous ma jupe que mon pas pressé fait voler, casquette et lunettes sombres comme dernier remparts. Les quelques secondes qui me séparent de mon véhicule me paraissent interminables. Sans me retourner, je me mets au volant et démarre rapidement pour m’éloigner au plus vite.
    
    Les battements de mon cœur ralentissent tandis que je me ...
    ... rassure enfin. J’emprunte la rue qui m’amène à la départementale. Les quelques rares voitures que je croiserai sont loin d’imaginer ce qui se passe. Je me sens si bien maintenant, conduisant naturellement, genoux serrés comme le ferait une femme. Je relève la jupe sur laquelle je m’étais assise, comme pour ne pas la froisser. Les fesses au contact du siège, que le petit bout de tissu qui les fend ne protège pas, me procure une bien agréable sensation, jusque-là inconnue. En transe, j’avale les kilomètres…
    
    Après presque 45 minutes, j'atteins enfin la forêt. Les premiers panneaux indiquant le parcours santé m'indiquent que je dois maintenant quitter la route principale. Le soleil est bas sur l'horizon. Sa lumière rouge feu inonde et réchauffe la cime des arbres. J'arrive sur la parking où trois voitures stationnent déjà dès l'entrée près des premiers panneaux pédagogiques sur lesquels sont dessinés les mouvements conseillés aux agrès. Un peu plus en retrait de la route, 2 autres véhicules sont garées comme à l'abri des vues. Un autre petit accès plus discret s'enfonce dans la bois. C'est certainement par là qu'il me faudra passer.
    
    Je vais à mon tour me garer au fond de l'aire de stationnement en prenant soin de scruter les environs avant de couper le moteur. L'adrénaline circule dans mes veines, je suis fébrile au point d'hésiter m'arrêter. Je tremble. Mais il ne me faut pas renoncer; je suis allé trop loin pour abandonner si près du but. Après tout, ceux que je devine, tapis ...
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