La bourgeoise et le marabout (22) - Histoires de Sexe

La bourgeoise et le marabout (22)

Depuis ma sortie à Saint Ouen, je suis restée très sage et, comme François a décidé de ne pas me baiser ces derniers jours, je suis un peu excitée lorsque nous arrivons au samedi matin. C’est en effet aujourd’hui, à 11h30, que j’ai mon second rendez-vous de rééducation périnéale avec Monsieur Coulibadou. A 10h00, lorsque je sors de la salle de bain et me dirige vers mon dressing pour choisir mes vêtements, François me dit

— Chérie, va plutôt commencer à te maquiller dans la chambre. Je vais choisir tes affaires et je te les apportes.

Connaissant bien mon mari et sachant que ce n’est pas dans sa nature de procéder ainsi, je me doute qu’il a manigancé quelque chose pour ce matin. S’il a tout préparé avec mon marabout, cela n’est pas pour me déplaire car je souhaite vraiment, pour mon plus grand plaisir, qu’ils deviennent de bons complices. Quelques minutes plus tard, alors que je suis assise devant ma coiffeuse en train de me remettre fond de teint, rouge à lèvres et mascara, François entre dans la chambre, dépose les vêtements sur le lit, pose une paire de chaussures par terre et me dit

— Avec cela, tu seras parfaite. Je sais déjà que ce sont des tenues que j’adore et nul doute que le docteur Coulibadou va également apprécier.

Lorsque la sonnette de l’entrée tinte vers 11h25, c’est François qui va ouvrir à mon marabout. A peine ce dernier a-t-il franchi l’entrée que mon mari lui annonce que la consultation se fera dans la chambre. Lorsque je les rejoins dans ...

... cette pièce, François est déjà installé dans un fauteuil face au lit et le supposé docteur gynécologue est en train de sortir les différents ustensiles de sa petite mallette. Il me fait tout d’abord asseoir sur le bord du lit et me demande si j’ai continué à faire quelques exercices de rééducation depuis notre premier rendez-vous il y a une semaine. François lui répond à ma place

— J’ai été un peu débordé au travail cette semaine et je n’ai pas pu honorer Hélène comme je le devais. Elle n’a donc pas vraiment fait d’exercices et peut-être est-il souhaitable d’y remédier aujourd’hui.

Bien évidemment, je tais aux deux hommes que je me suis offerte une après-midi pluralité en banlieue avec une dizaine de jeunes beurs ravis de baiser une bourgeoise du XVIème arrondissement.

Maître Coulibadou me demande de retirer ma robe et de me mettre debout pour un petit examen. Face à lui et tournant le dos à François, je défais lentement les boutons de ma robe et la laisse glisser le long de mes jambes. Je vois dans les yeux de mon marabout, et j’imagine de même dans ceux de François braqués sur mon dos, combien mes dessous sont excitants. Perchée sur de hauts escarpins, je fais particulièrement salope avec mon soutien-gorge noir demi bonnet qui ne cache rien de mes tétons, mon serre-taille qui retient mes bas noirs et mon petit string fendu assorti. Mon maître me demande d’écarter légèrement les jambes, humecte son majeur et le glisse lentement dans ma chatte en passant par la fente de ...