1. Chapitre 1 - La piqûre


    Datte: 11/08/2021, Catégories: h, fh, médical, Oral pénétratio, Humour Auteur: Jean57, Source: Revebebe

    Tom-la-punaise court comme un fou sur le tronc du cerisier. Il a entendu dire qu’une centaine de ses congénères participent à une orgie monstre au sommet d’une des branches. Poussé par l’excitation montante qui l’habite et guidé par les odeurs, il se précipite à toute allure vers le groupe. La situation originale lui donne encore plus d’énergie pour grimper. Il a toujours aimé les circonstances peu banales. L’accouplement au soleil, c’est bon pour la punaise commune, mais lui a besoin de davantage. Et quoi de plus excitant qu’une nuit chaude, orageuse et éclairée par intermittence par les éclairs.
    
    Enfin, il aperçoit le tas en train de forniquer. Il s’élance et saute sur la masse, prêt à prendre le premier partenaire qui se présente, son désir décuplé par les effluves environnants.
    
    Le tonnerre se fait entendre de plus en plus, pendant que Tom-la-punaise, à la recherche de l’extase, perfore de son sexe sa première victime. Puis soudain la foudre s’abat sur le cerisier. Tom, électrisé, se retrouve propulsé dans les airs. Pour éviter la chute, il déploie ce qui lui sert d’ailes et, porté par le vent, il vient heurter un mur.
    
    Il s’accroche à celui-ci et se met à parcourir la surface en courant en tous sens, toujours sous l’effet de l’excitation récente. Il trouve enfin un trou et il s’y engouffre. Après plusieurs minutes à courir dans le noir il sent quelque chose qu’il décide de longer. Il suit en fait un câble électrique et il accélère parce des picotements lui agacent ...
    ... le bout des pattes. Il flaire finalement de l’air et aperçoit une légère lueur mais, avant qu’il ne puisse réagir, il tombe. Pas le temps de déployer ses ailes qu’il atteint déjà une masse douce et molle. Il recommence alors sa course, excité par une nouvelle odeur. Dans le noir, il se hâte à la recherche de sa victime sexuelle. Il est arrivé, il en est sûr. L’odeur vient de là, l’excitation est à son comble. Il touche une matière molle sous ses pattes, c’est là qu’il doit piquer, il en est certain. Avec précipitation, il plante son sexe dans cette chose toute molle.
    
    Je me réveille soudain à cause d’une douleur vive. Je sursaute hors du lit en soulevant les draps. Je crie de douleur, les deux mains sur le sexe tout en sautant sur place d’une jambe sur l’autre. J’allume enfin la lumière.
    
    — Bordel de merde ! Qu’est ce qui m’a piqué ?
    
    J’aperçois alors une vulgaire punaise qui court par terre. J’attrape ma savate et, d’un coup sec, j’écrase l’insecte.
    
    La douleur est encore là, je vais dans la salle de bain et devant le miroir je découvre dans mon reflet un petit point rouge sur mes bourses. Sans doute la piqûre de ce maudit insecte. Ah, si je ne m’étais pas rasé, sans doute la punaise n’aurait pas pu approcher si près. Je jette un œil au réveil posé sur la tablette au-dessus du lavabo. Une heure du matin. Encore bien tôt. Je bois une gorgée d’eau avant de retourner me coucher en pensant à ma copine. La nuit précédente, j’avais couché avec elle pour la première fois et ...
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