Pas touche! Partie 3
Datte: 10/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Auteur: sensualites, Source: xHamster
Le troisième jour, je me suis rendu compte, dès mon réveil, que quelque chose de singulier allait se produire.
Je m’apercevais en fait que ni elle ni moi, tout en ayant chacun notre part de contrôle dans ce contrat de séduction et de désir à deux, n’avions vraiment la main sur l’évolution de notre relation.
Si elle pouvait la deviner dans ses grandes lignes, elle ne savait pas précisément qu’elle était mon attente à l’instant où elle entrait dans ma chambre… et moi-même, je n’étais pas en mesure de dire ce qu’elle était capable d’accepter on non des volontés que je pourrais lui exprimer.
Il a fallu attendre ce troisième jour pour m’assurer qu’elle était d’une ponctualité exemplaire, ce qui était cohérent avec le sérieux qu’elle mettait à accomplir son travail d’infirmière, et plus encore de sa capacité à répondre à mes désirs avouables ou non.
Toujours cette odeur et le rythme de ses pas qui la précédaient et qui, avant même son entrée dans ma chambre, avaient le pouvoir de me troubler comme cet adolescent qui sommeillait encore en moi, mais qu’elle seule avait su réveiller.
Chaque jour elle me paraissait plus belle. Quand son visage apparaissait… c’était étrange, car tout en étant toujours aussi jolie et juvénile, j’avais cette sensation singulière qu’il y avait en elle une maturité qui s’affirmait davantage. Cela pouvait paraître ridicule, mais elle semblait gagner en assurance à chaque apparition, comme si ce n’étaient pas des journées qui défilaient mais ...
... des mois, voire des années depuis ce premier jour où je l’avais vue.
Ce qui est certain c’est qu’une évidente complicité s’affirmait désormais. Le premier signe de celle-ci étant cet échange de regards et de sourires qui nous suffisaient à nous dire bonjour, comme si nous n’avions pas de temps à perdre!
Et une fois cet échange de regards suffisamment long pour prouver qu’il n’était pas que formel, le sien glissait toujours en direction de la fenêtre, à la recherche de la preuve, qu’une fois encore il y aurait, en plus des soins qu’elle prodiguait plus ou moins à tous ses patients, quelque chose de particulier entre nous.
Bien sûr, dès ce moment-là, j’ai bien pensé qu’elle pouvait se comporter ainsi avec d’autres messieurs plus très jeunes et leur apporter aussi du réconfort…
Il me fallut beaucoup de courage pour lui poser la question, une fois encore ayant trop peur d’une réponse qui pourrait tout gâcher entre nous. Mais elle me confirma que ce petit jeu, elle ne se l’était permis qu’avec moi… sans savoir trop pourquoi, et sans préméditation. Comme une pulsion exprimée lors de notre première rencontre, parce qu’elle me trouvait séduisant, pas tordu comme beaucoup d’autres… comme un fantasme qu’elle avait déjà envisagé depuis longtemps, mais qu’elle eu soudain envie de concrétiser comme une évidence avec moi seul!
Bien sûr, je n’avais et je n’aurai jamais la certitude absolue qu’elle me disait la vérité, mais elle me semblait sincère, et cela m’excitait d’autant ...