1. Ma secrétaire, la vieille fille


    Datte: 10/08/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... dit:
    
    « Il vaut mieux ne pas laisser de traces. »
    
    Et elle reprend sa pipe mais encore plus intensément, sa langue s’excite encore plus sur chacun de mes points sensibles.
    
    Je n’arrive plus à me retenir, je sens mes couilles se congestionner et ma tige gonfler encore plus. Mes veines pulsent et je me vide par de longues giclées dans la bouche de Thérèse qui continue de me sucer en comprimant ses lèvres fermement autour de ma tige comme pour être sure de ne pas en perdre une goutte.
    
    Quand mon sexe est ramolli et propre, elle se relève et arrange sa jupe. De sa poche elle sort un mouchoir en tissu avec lequel elle s’essuie la commissures des lèvres. Je la regarde faire tout en remballant mon matériel.
    
    Une fois que je suis rhabillé, elle attrape le sac avec les repas et me dit comme si de rien était:
    
    « Il faut manger, ça va être froid ».
    
    Je n’en reviens pas, Thérèse fait comme si de rien n’était. Franchement elle cache vraiment bien son jeu.
    
    Je reprends doucement mes esprits et attaque mon plat. J’essaye d’en savoir plus sur elle en lui demandant si elle a été mariée, elle me répond simplement non. Je rajoute:
    
    « Mais vous avez quand même vécu en couple? ...
    ... »
    
    Elle me répond tout aussi simplement non.
    
    Après un long moment de silence elle me dit qu’a 20 ans elle a été fiancée au meilleur des hommes mais que 3 semaines avant leur mariage il est décédé d’un accident de voiture. Comme elle n’a jamais cessé de l’aimer aucun autre homme ne l’a plus intéressé.
    
    J’ai de la peine pour elle, j’aimerai lui demander pourquoi elle m’a sucé mais je n’ose pas. Je vais quand même avoir ma réponse car après avoir fini de manger dans un silence d’église elle me dit:
    
    « Quand je vous ai vu derrière votre bureau en revenant du restaurant, j’ai d’abord cru voir Gerard et ensuite je n’ai pas réfléchi. »
    
    Je suis un peu gêné, je rougis même et nous reprenons le travail.
    
    Tous les soirs qui ont suivi avant que Thérèse parte nous chercher à manger, elle m’a sucé mais ne m’a jamais laissé aller plus loin ou même la toucher. Par contre tous les soirs elle s’est un peu plus confié à moi sur son Gérard mais aussi le temps qu’elle avait perdu.
    
    Quand on a enfin fini de traiter tous les nouveaux dossiers et que nous avons repris des horaires normaux je l’ai invité un vendredi à venir manger chez moi pour la remercier à ma façon mais ça sera une autre histoire… 
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