1. Jalousie, quand tu nous tiens !


    Datte: 10/08/2021, Catégories: f, fh, hplusag, couple, extracon, parking, Collègues / Travail amour, fsoumise, hdomine, cérébral, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, jeu, sm, Auteur: Pablo & Mariane, Source: Revebebe

    ... retrouva nue devant son amant. Elle alla s’allonger sur le lit et attendit qu’il vienne à elle. Il s’installa à ses côtés. Ses mains commencèrent à glisser lentement sur sa peau douce et lisse, une peau chaude qui exprimait déjà tout le désir ressenti par Mariane. Ses gestes étaient lents, tendres, habiles. Sa maîtresse ronronnait, soupirait même de temps en temps. Cela l’excitait encore plus de savoir que son plaisir montait. Il poursuivit longtemps ses caresses, explorant chaque partie de son corps. Ses petits seins, ses fesses, son dos, le creux de ses reins, tout le long de ses jambes, l’intérieur si soyeux de ses cuisses… Mais il réserva la caresse de son sexe à sa bouche.
    
    Elle poussait des soupirs de plus en plus fort. Bientôt ce ne seraient plus que des cris de plaisir. Son corps ondulait. Elle voulait des caresses plus appuyées. Elle voulait qu’il la prenne. Elle le supplia dans une sorte de miaulement plaintif. À son tour, l’homme se déshabilla avec lenteur, laissant la jeune fille admirer son corps en même temps qu’elle poursuivait les caresses de Pablo sur sa poitrine. Elle le connaissait par cœur, la moindre cicatrice, le moindre grain de beauté, pourtant elle ne se lassait pas de poser ses yeux sur lui.
    
    Il s’installa entre ses cuisses largement ouvertes. Elle lui demanda de lui faire l’amour lentement, ...
    ... comme lors de leur première fois, lorsqu’elle lui avait offert sa virginité. Elle voulait que ça dure longtemps, très longtemps. Il satisfit tous ses désirs. Cette soirée était la sienne. Elle était la princesse qui ordonne, il était l’humble serviteur qui exécute. Il était aussi doux que possible, même si parfois il avait envie de donner des coups de reins plus violents.
    
    Ses soupirs étaient entremêlés de mots d’amour qui le faisaient frissonner, ils ne lui avaient jamais semblé aussi bons. Il se sentit le courage de lui en dire lui aussi, de lui dire LE mot d’amour.
    
    — Je t’aime, chuchota-t-il dans un souffle.
    
    C’est ce moment-là que Mariane choisit pour laisser aller son plaisir. Elle était tellement heureuse. Elle était au septième ciel, dans un autre monde, comblée au-delà de toutes ses espérances. C’est dans cet état second qu’elle laissa faire son amant lorsqu’il décida, à la suite de cet orgasme, de profiter de son corps à sa guise pour se faire jouir.
    
    Ils s’assoupirent dans les bras l’un de l’autre, amoureusement. Tout ce qui venait de se passer ce soir était oublié, et il n’était pas encore temps de songer aux conséquences du lourd aveu que Pablo venait de faire à sa maîtresse. Pas plus que de songer ce qu’il allait bien pouvoir raconter à sa femme pour avoir découché à l’improviste. Il sera bien temps, demain… 
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