1. Donnez un coup de fouet à votre vie sentimentale


    Datte: 09/08/2021, Catégories: fh, fouetfesse, délire, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... fouet viendra lécher le linge fin dans un premier temps, lui causant un primo-orgasme, et qu’ensuite il déchiquettera la délicate dentelle déjà transparente dans un frémissant claquement et le laissera retomber comme une colombe morte dans la sciure.
    
    Elle commence à frémir maintenant. Et c’est à moi de me concentrer au maximum de façon à ce que la lanière subtile vienne chatouiller la fente avide par de rapides et audacieuses incursions. Souvent, à ce moment-là, le spectateur demande à voir le ralenti pour bien se rendre compte. Il constate alors que le bout du fouet entre dans le vagin et le pénètre de trois centimètres environ. Mélanie déguste. Un vrai bonheur. Parfois, selon mon envie, je coiffe ou je décoiffe sa toison en rassemblant tous les poils bien au centre de son pubis, comme un petit bois, ou en les clairsemant sur son bas-ventre, comme des bosquets en Sologne. Le fouet se fait peigne.
    
    C’est à ce moment que si je veux continuer dans cette précision obsessionnelle, je dois me déboutonner à mon tour. Une érection est vite arrivée et alors la gêne qu’elle occasionne peut tout faire rater. Et d’ailleurs, la vision de mon sexe vite congestionné procure à Mélanie une curieuse sensation. Elle sent le fouet la pénétrer, mais la vue de ma verge dans le même temps fait qu’elle perd la notion de l’espace et du temps. C’est un phénomène qu’a parfaitement décrit Stephen Hawking, qui vient de mourir en y pensant encore.
    
    La difficulté maintenant c’est d’agir avec la ...
    ... même virtuosité en pénétrant l’anus que je ne vois pas. Pour cela, le fouet doit passer entre les jambes et venir se ficher dans le creux des fesses avec aplomb. Il faut un certain doigté, c’est d’ailleurs ce qu’on dit dans ces cas-là. Mélanie avait quelques réticences quant à la sodomie, mais pratiquée avec fouet et élégance, elle s’est laissé convaincre. Et elle le chante sur l’air de « Jésus, que ma joie demeure » :
    
    Il faut vous dire qu’au début de notre relation je la fouettais vraiment, crûment, sévèrement et elle m’injuriait ou me disait des mots cochons pour que je lui fasse encore plus mal. Puis nous nous aimions dans un mélange sanguinaire de plaies qui suintaient bon le sabre chaud. Eh bien, oui, on a tous été jeunes… Mais aller au travail avec des marques même joliment bleutées soulève des tas de questions de la part des néophytes :
    
    « Votre mari vous fouette comment ? Le mien, il n’y arrive pas. Ah, l’empoté ! »
    
    « Vous jouissez avant, pendant ou après le coup ? Moi, je jouis avant. Comme ça, le coup est inutile, vous comprenez. »
    
    « Le mien, il me frappe. C’est un radin. Un fouet, c’est une dépense, vous pensez… »
    
    Tous ces commentaires mettaient Mélanie un peu mal à l’aise dans ce cabinet de notaire où elle était chargée des procès verbeux. Et de mon côté, je passais la journée à effacer les traces sur les vêtements, les draps et coussins.
    
    Voyez comme aujourd’hui tout n’est plus que poésie et délicatesses. Juste des frissons. La peau à fleur de peau, ...