Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob (4)
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Robb Dusset, Source: Xstory
... faveur.
Je l’entendis grommeler doucement.
— Tu as besoin d’aide ? me proposai-je innocemment.
— Non c’est bon ! Je vais y arriver grrhhh…
Quelques minutes plus tard, alors que j’étais tranquillement allongé sur mon lit, la porte se déverrouilla. Le bruit si particulier du latex en mouvement attira mon attention. D’un pas timide, Julie approcha au centre de la pièce, devant la télévision. La combinaison recouvrait l’intégralité de son corps, hormis la tête. Ce simple déguisement rendait ma sœur méconnaissable, ses traits de visage n’avaient pas changé, mais en la regardant de loin, elle semblait différente, ses cheveux longs retombaient sur cette seconde peau d’un noir profond et brillant. Elle était extrêmement près du corps, elle recouvrait le moindre centimètre carré de peau, et s’insinuait dans les moindres plis et interstices de son corps, sans laisser de place à la moindre bulle d’air. Même sur ses mains, on devinait parfaitement l’emplacement de ses ongles et de ses phalanges. Naturellement, mon regard se porta sur les parties plus intimes de l’anatomie de Julie, et je remarquai son entrejambe, magnifiquement mis en valeur : le costume s’insérait parfaitement entre les deux grandes lèvres fermées de sa vulve légèrement gonflée, et laissait deviner un peu plus haut sa toison éparse.
Ses seins, quant à eux, étaient aussi parfaitement présentés dans ce sombre écrin, ils semblaient avoir perdu légèrement en volume, probablement car compactés contre son ...
... buste, mais ils n’en demeuraient pas moins admirables et bien proportionnés à mon sens. Ses tétons étaient de surcroît parfaitement discernables ainsi que leurs aréoles discrètes.
— Comment… Comment ça me va alors ? demanda-t-elle, tout en rougissant légèrement, comme une jeune écolière.
Abasourdi par ce spectacle je n’avais guère la force de répondre. Néanmoins, je désirais plus que tout au monde pouvoir observer le rendu de cette nouvelle peau sur son fessier déjà naturellement bien construit, alors je lui fis le signe de tourner sur elle-même d’un demi-tour. Elle s’exécuta avec une certaine grâce, et alors s’offrit à moi la vision que tout Homme a au moins une fois dans sa vie et pour laquelle il se dit : « Maintenant je peux mourir ». C’était certain désormais, jamais je ne trouverai un cul aussi parfaitement sculpté, aussi somptueusement tenu, et aussi divinement lisse que celui de ma sœur dans cette combinaison de Dieu. Son postérieur avait été mis sous vide par cette combinaison, ce qui gommait les légères imperfections de sa peau, et rendait ses courbes plus uniformes. La matière sombre et brillante se perdait dans son sillon interfessier, pour ne ressortir que plus en dessous, en laissant deviner le commencement enflé de sa vulve. La lumière se reflétait merveilleusement bien et mettait en valeur toute la subtilité de ces volumes magistraux.
C’était un véritable chef-d’œuvre, une création de Dieu pour laquelle je venais d’imprimer à jamais une image mentale dans ...